ORDRE DE TUER - 1958

Titre VF ORDRE DE TUER
Titre VO Orders to kill
Autres titres VF ORDRE D'EXECUTION
Année de réalisation 1958
Nationalité Grande-Bretagne
Durée 1h51
Genre DRAME
Notation 17
Date de sortie en France 05/08/1959
Thème(s)
Cimetières (tous pays confondus)
Deuxième Guerre Mondiale (Cinéma britannique)
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma britannique)
Cinéma britannique (ORIGINE)
Milieu de la mode, de la couture et de la confection (tous pays confondus)
Lance-pierres et autres frondes (tous pays confondus)
Aéroports (et / ou) aviation militaire (Cinéma britannique)
Danse (Cinéma britannique)
Métro (Cinéma britannique)
Milieu médical (Cinéma britannique)
Armée (Cinéma britannique)
Huissiers (tous pays confondus)
Chats (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
ASQUITH Anthony
Chef(s) Opérateur(s)
DICKINSON Desmond
Musique
FRANKEL Benjamin
Renseignements complémentaires
Scénario : Paul Dehn
et George St. George .....
Produit par Anthony Havelock-Allan

Visa d'exploitation : 21 927

Nota :

- British Film Awards 1958 : Meilleur Scénario et Meilleure Actrice (Irene Worth) .....
Acteurs
MASSIE Paul
ALBERT Eddie
FRENCH Leslie
ROBERTSON JUSTICE James
GISH Lillian
CRAWFORD John
JEFFRIES Lionel
WORTH Irene
BRUNIUS Jacques Bernard
PHIPPS Nicholas
BLAKE Anne
GIFFORD Lillie bea
KYDD Sam
IVERIA Miki
RAEBURN Henzie
HENDERSON Robert
DORNE Sandra
MALANDRINOS Andreas
VAZ DIAS Selma
GREENE William E.
MARASCHAL Launce
NOSSEK Ralph
RANEVSKY Boris
WALFORD Ann
ALEXANDER Denyse
WENDHAUSEN Fritz
BOND Philip
FRANCOMME Edouard
GERALD Jim
HIBBERT Geoffrey
KELLY Michael
REBEL Bernard
Résumé

Durant la Seconde Guerre Mondiale, le lieutenant Gene Summers, un pilote de bombardier américain qui a passé une grande partie de sa jeunesse à Paris, est chargé d'une délicate mission par son supérieur le major Kimball, se rendre dans la capitale française et mettre hors d'état de nuire un certain Marcel Lafitte, huissier de justice de son métier. En effet, l'homme en question, qui fait partie d'un des nombreux réseaux clandestins de la Résistance, est soupçonné d'être un traitre qui aurait déjà dénoncé cinq de ses camarades à la Gestapo locale. Après un entraînement adéquat et intensif, Summers est parachuté en France où il fait connaissance avec son contact parisien, "tante Léonie" qui tient un petit atelier de mode et de confection. Cette dernière lui fournit les papiers nécessaires pour circuler librement dans la capitale sous le nom de Jean Doumier exerçant le métier d'électricien. Plus tard, au café Bertolo, il rencontre sa future victime avec laquelle il finit par sympathiser et qui l'héberge même dans son bureau pour lui éviter de sérieux ennuis lors d'une rafle en train de s'opérer dans le quartier. Le lendemain, en repérage près de l'appartement de Lafitte, il est invité par le bonhomme à faire connaissance avec son épouse et sa petie fille prénommée Mauricette. Toute cette proximité inespérée se présente comme fort utile pour accomplir sa mission, hormis que Summers commence sérieusement à douter de la culpabilité de sa cible, bon père de famille, aimable, généreux et qui adore les chats...

>>> Une œuvre fort bien accueillie dans son pays, récompensée par les prix du meilleur scénario, meilleure actrice et meilleur espoir masculin par la British Film Academy et qui fut peu appréciée hors de ses frontières, copieusement sifflée au Festival de Cannes pour son prétendu cynisme amoral et qui en fait pose avec efficacité et véracité une problématique et un questionnement hautement estimables...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1958
- Cinéma numéros 28 et 40
- La Revue du Cinéma numéro 113
Critiques (Public)