IL FAUT MARIER PAPA - 1962

Titre VF IL FAUT MARIER PAPA
Titre VO The courtship of Eddie's father
Année de réalisation 1962
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h58
Genre COMEDIE
Notation 13
Date de sortie en France 27/11/1963
Thème(s)
Relations entre père et fils (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
MINNELLI Vincente
Chef(s) Opérateur(s)
KRASNER Milton
Musique
STOLL George E.
Renseignements complémentaires
Scénario : John Gay .....
d'après le roman de Mark Toby
Chanson de Victor Young
et Stella Unger .....
Costumes : Helen Rose
Produit par Joe Pasternak
Distribution : MGM

Visa d'exploitation : 27 682
Acteurs
FORD Glenn
JONES Shirley
STEVENS Stella
VAN DYKE Jerry
MERRILL Dina
SHERWOOD Roberta
HOWARD Ron
SCOTTI Vito
HOWARD Clint
MARSHALL Mike
CASSIDY Jack
HOWARD Rance
DOUGAN Vikki
MERIWETHER Lee
BECK Kimberly
ANDRESON Carol
AVERY Brian
HART John
ROTH Gene
CORCORAN Kelly
HALOP Billy
NYMAN Ronald
STEVENS Andrew
Résumé

Après la mort de sa mère, le jeune Eddie Corbett désire de tout coeur, que son tendre paternel cherche et trouve une femme pour un équilibrant remariage. Les occasions et les prétendantes ne manquent pas, mais ne sont pas toujours au goût et à la sympathie de l'un ou de l'autre, ce qui donne lieu à bien des quiproquos...

>>> Une oeuvre moyenne dans la vaste filmographie du réalisateur, qui est tout de même plaisante et permet de passer un agréable moment...

Bibliographie
- Ciné-Jeunes numéro 46
- Télé-Ciné numéro 128
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéro 176
Critiques (Public)
Nota : dans le film de Minnelli : "Il faut marier papa" (1963) Glenn Ford regarde à la télévision, une scène de "Mogambo" de John Ford (1953)..... Le petit garçon de ce film est le futur héros de la série télévisée "Happy days" où il apparaît dans le rôle de Ritchie. Il est également le réalisateur du film "Cocoon"   (JUNON 09-04-89)

Très agréable comédie avec le jeune Ron Howard qui cabotine en diable et la merveilleuse Stella Stevens, débordante d'humour et de beauté.  AXEL.

18/20 : Du haut de ses trois pommes, vouloir marier son père veuf... Voici une production de 1963, toujours piquante en 2010 pour qui surmonte l'habituel sirop musical de ces années-là en arrière-plan des scènes intimes. Couleurs harmonieuses, grande mobilité de caméra dans l'appartement où la radio du matin tranche avec ce qu'on voit. Vincente Minnelli ménage d'autres surprises derrière l'espièglerie centrale : qui n'a souhaité choisir le ou la partenaire de son parent resté seul, cet empoté, hein ?... Certes, l'issue se devine mais sa pertinence à l'image beaucoup moins. Qu'il est long à faire ce deuil de la gardienne du foyer morte à l'hôpital... Les portraits féminins défilent pourtant non stop, chacun dans leur spécialité (ce numéro de batterie !). Presque tout se passe dans les intérieurs douillets, priorité au ludique, on est bien dans les sixties... Père et fils, chacun dans leur brouillard mental, s'évitent. Mais dialoguent soudain d'homme à homme, attention, c'est Junior l'expert ! L.Ventriloque