De nos jours, au Portugal, dans un asile d'aliénés. Le film nous propose une ronde de personnages qui se prennent soit pour des figures bibliques, soit pour des héros de Dostoïevski, voire même dans un cas pour un philosophe issu tout droit de chez Nietzsche. Ils déclament, récitent, se confessent. Le tout étant censé constituer une parabole de la vie, régie par la dichotomie entre le Bien et le Mal...
>>> De Oliveira reste fidèle à lui-même et continuera à passionner les uns (une minorité de toute évidence) pour endormir les autres. On peut ne pas aimer...
Bibliographie
- Saison Cinématographique 1992
- Revue du Cinéma numéro 482
- Première numéro 182
- Studio numéro 61
- Positif numéros 375/376
- Cahiers du Cinéma numéro 454
- Télérama numéro 2205