IP5 - 1991

Titre VF IP5
Titre VO
Année de réalisation 1991
Nationalité France
Durée 1h59
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 11
Date de sortie en France 12/06/1992
Thème(s)
3e âge (Cinéma français)
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma français)
Réalisateur(s)
BEINEIX Jean-Jacques
Chef(s) Opérateur(s)
ROBIN Jean-François
Musique
YARED Gabriel
Renseignements complémentaires
Scénario : Jean-Jacques Beineix
et Jacques Forgeas .....
Distribution : Gaumont

Visa d'exploitation : 77 159
Acteurs
MONTAND Yves
MARTINEZ Olivier
SALL Sekkou
PAILHAS Géraldine
RENARD Colette
KOUYATE Sotigui
STAQUET Georges
DIDIER Arlette
BOUZONNE Kleber
LEPINAUX Bernard
BARRET Olivier
DUQUESNOY Laurent
GUESMI Samir
RICHERT Carole
HUGON Jane
MONSIEUR ROBIN
BOULEY Sylvaine
BEHAR Fabien
CARPENTIER Rémy
GIRAUD Jacques
FEUILLARD Serge
STOCKLE Norman
STERN Alain
MAREK Volker
PITARRESI Maria
LARMANDE Bernard
FURDUI Dimitru
MONNET Gabriel
DORVAL Nathalie
GAUTIER Martine
CLEVE Jenny
FREROT Alain
PISANI Anne-Marie
VALLY Paul
KLEBER Gilles
REY Hervé
Résumé

Jockey, un petit rapper black d'une dizaine d'années, et Tony, jeune tagger, habitent dans le même immeuble. Le second aide souvent le père du premier lorsqu'il sombre dans ses fréquents comas éthyliques. Un soir, une nouvelle infirmière est envoyée et pour le roi des graffitis c'est le coup de foudre. Quand il doit partir avec son ami en "voyage", les deux décident de faire un détour pour la rejoindre à Toulouse, mais leur trajet est interrompu par leur rencontre avec un vieux sage un peu fou...

>>> Malgré d'innombrables maladresses, un film à sauver !

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1992
- Revue du Cinéma numéro 484
- Première numéro 184
- Studio numéros 63-64
- Positif numéro 378
- Cahiers du Cinéma numéro 458
- Télérama numéros 2213-2291
Critiques (Public)
Juste quelques mots : arrêtez de palabrer à propos de la mort d'Yves Montand... Ce que j'ai vu, n'était pas une mise à mort, mais plutôt un rôle en or, dans un film émouvant, avec des acteurs vraiment merveilleux... Un grand merci à Beineix pour une heure et cinquante neuf minutes de bonheur.