Guy Haines, célèbre joueur de tennis, rencontre dans un train Bruno Anthony, homme étrange qui prétend être un de ses admirateurs. Après une courte discussion, l'inconnu lui propose un curieux marché : il assassinera sa femme qui l'empêche d'obtenir le divorce et Guy se chargera d'occire son père. Ainsi, chacun trouvera la tranquillité et ne pourra être inquiété par la police. Bruno refuse énergiquement, mais...
>>> Une grande réussite du genre, à la réalisation et au scénario irréprochables...
Bibliographie
- Avant-Scène numéros 261 et 297/298
- Télérama numéros 105, 575
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1962
- Image et Son numéros 286, 352
- Studio numéros 37, 40
- Mon Film numéro 293
- Le Point numéro 1141
- L'Ecran Français numéro 340
- Positif numéro 470
Critiques (Public)
Excellent film d'Hitchcock, mêlant les fantasmes érotiques les plus débridés : La fadeur de Farley Granger s'accorde bien au rôle torturé incarné par Robert Walker, soulignant une homosexualité sous-jacente. Et la très érotique Laura Elliott, qui deviendra Kasey Rogers, est excellente dans le rôle de Miriam (nympho et portant des lunettes) dont la scène sera filmée à travers ses verres : Elle y trouve le rôle de sa vie.
Patricia Hitchcock, la fille du réalisateur est très bien aussi, de même que Norma Varden, actrice anglaise spécialisée dans les rôles de vieilles coquettes.
Quant la brune Ruth Roman, elle est aussi triste que ses prestations antérieures.