Scénario : Alexander Jacobs,
Robert et Laurie Dillon .....
d'après une histoire des deux derniers
Assistants-réalisateurs : Bernard Stora
et Thierry Chabert .....
Produit par Robert L. Rosen
Distribution : 20th Century Fox
L'incontournable et plutôt efficace inspecteur "Popeye" de la brigade anti-drogue de Los Angeles débarque à Marseille pour démanteler un puissant réseau d'héroïne...
>>> Un film relativement bien ficelé qui dénote un bon travail de professionnel et qui, malgré tout, laisse quelque peu le spectateur sur sa faim. Finalement, une déception par rapport à l'ensemble de l'oeuvre de Frankenheimer, une demi-réussite quant au spectacle et à l'action du film. L'éternel cas de figure des "suites" bancales à des films qui avaient eu par le passé un certain succès commercial...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Si "French connection" était plutôt réussi dans l'ensemble... "French connection II" n'est qu'un misérable ratage cinématographique...
LE SAVIEZ-VOUS? Il existe une seconde suite à "The French Connection 2": le téléfilm de Peter Levin, "Manhattan Connection", tourné en 1986 et diffusé sur Canal Plus en novembre 1987. Cette fois-ci, Popeye Doyle ne s'oppose plus à de méchants trafiquants de drepou, mais à des terroristes! Le plus drôle de toute l'histoire, c'est qu'il n'est plus interprété par Gene Hackmann,mais par... Ed O'Neill, alias l'ignoble Al Bundy de la série "Mariés, deux enfants!"
YAZZEDINE KALAI
« French connection II, un ratage ? Bien au contraire, le film de Frankenheimer joue la carte du réalisme à fond (voir l'extraordinaire séquence de désintoxication de Popeye Doyle). L'affrontement Bernard Fresson (remarquable) / Gene Hackman (génial) fonctionne d'autant plus, qu'aucun des deux comédiens ne cherchent à tirer la couverture à soi. De plus, Marseille a rarement été aussi bien filmé et la course-poursuite qui clôt le film reste encore aujourd'hui haletante. JERRY