Dans un somptueux château, entouré d'aisance et de serviteurs, un milliardaire s'ennuie à mourir. Un cirque passe, avec une belle écuyère et son fils. Le petit groupe de saltimbanques donne une représenttion et repart vers son destin. Quelques années, plus tard, après le dramatique krach de 1929, ruiné, l'homme rejoint la petite troupe. Le petit Yoyo a grandi, en 1940, après sa libération, il devient une vedette internationale et désire éperdument retrouver le château de son enfance...
>>> Un humour glacé, nostalgique rappelant le style et le génie de Buster Keaton.
Bibliographie
- Télérama numéros 779-790-1666-1965
- Cinéma 65 numéro 94
- Cahiers du Cinéma numéro 165
- Télé-Ciné numéro 123
- Films et Documents numéro 236
- Image et Son numéro 269
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1965
- Revue du Cinéma numéros 172-183-269 368-476
- Positif numéro 70
- Jeune Cinéma numéro 6
- Le Monde du 23 janvier 1965
Critiques (Public)
Yoyo, j'en pleure encore de bonheur. Vivement que Pierre Etaix retrouve tous ses droits d'auteur dès 2007.
Yoyo, c'est une perle du cinéma français. L'absurde et la mélancolie se jettent sur vous et ne vous lâcheront pas d'ici quarante ans. En ces temps-là, j'étais un môme. Ce jour je me dis dans mon fort intérieur : "Etaix doit revenir au plus tôt, avec un nouveau film et son Yoyo avec" 
Pat.D
Projection de "Yoyo" intégralement restauré par la Fondation Groupama Gan pour le cinéma le 18 février 2007 à 10h du matin au cinéma Max Linder Panorama, en présence de Pierre Etaix 
J'ai vu ce film à l'âge de cinq ans (en 1972) et je ne l'ai jamais oublié.
Il me semble que c'est l'un des plus beaux que j'aie jamais vu.