L'oeuvre est construite en deux parties bien distinctes, intégrant adroitement la structure du "film dans le film", et nous montre durant les quarante premières minutes le désespoir d'une femme-médecin qui vient de perdre son mari, pour finalement conclure à une simple projection cinématographique, présentée devant un public parfaitement insipide, d'où seul émerge un spectateur plus ou moins endormi dont les pérégrinations ultérieures feront l'objet de la seconde partie du film...
>>> Un déroulement scénaristique agencé selon le principe de l'anti-narration, support de l'œuvre, qui devient souvent ennuyeux, voire insupportable...
Bibliographie
- Saison Cinématographique 1991
- Revue du Cinéma numéro 470
- Première numéro 169
- Studio numéro 48
- Positif numéros 351 et 363
- Cahiers du Cinéma numeros 430, 442 et HS 1991
- Télérama numéro 2152