BONJOUR TRISTESSE - 1957

Titre VF BONJOUR TRISTESSE
Titre VO Bonjour tristesse
Année de réalisation 1957
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h33
Genre DRAME
Notation
Date de sortie en France 01/01/1958
Thème(s)
Bass (Saul)
Sagan (Françoise)
Ski nautique (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
PREMINGER Otto
Chef(s) Opérateur(s)
PERINAL Georges
Musique
AURIC Georges
Renseignements complémentaires
Scénario : Arthur Laurents
d'après le roman de Françoise Sagan .....
Générique : Saul Bass
Produit par Otto Preminger
Distribution : Columbia

Visa d'exploitation : 20 570
Acteurs
KERR Deborah
NIVEN David
SEBERG Jean
DEMONGEOT Mylène
HORNE Geoffrey
GRECO Juliette
CHIARI Walter
HUNT Martita
CULVER Roland
KENT Jean
OXLEY David
ANDERSEN Elga
BURNHAM Jeremy
EYFEL Evelyne
LEMKOW Tutte
MEDARD Edouard F.
Résumé

Cécile, fille d'un riche veuf, mène avec son père une insouciante vie de fêtes et de distractions multiples. Lui, passe d'une maîtresse à l'autre, tandis qu'elle collectionne les caprices les plus futiles. Ils partent ensemble pour la Côte d'Azur où Cécile tombe amoureuse d'un jeune voisin. Mais, l'arrivée d'Anne, ancienne amie de la mère de la jeune fille, va profondément bouleverser son existence trop facile. Cécile va tout faire pour l'éloigner de son paternel .....

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinéma numéro 26
Critiques (Public)
18/20 : Fidèle adaptation du roman éponyme et fougueuse Jean Seberg à ses débuts en "petit monstre" ou les revers d'une trajectoire de pauvre petite fille riche. Du Sagan tout craché, milieu, vitesse, intensité du toujours plus de la fin des années cinquante qui ne saurait totalement dépayser en 2012... C'est bien appuyé par la chanson de Gréco, figure (et carrure !) déjà envoûtantes. Défilent les années soixante des nantis que rien n'entravait. Ils sont plutôt sympathiques tous dans leur genre et les lieux où ils s'ébattent leur collent telle une seconde peau. Père (David Niven fidèle à lui-même) et fille craquants de complémentarité et pourtant à deux doigts du lien incestueux... Au positif, les chichis dont on use tous pour cacher la peine, des minutes de danse exceptionnels qui conduisent vers ce long épisode de fête avec les musiciens au milieu. Leur vitalité intacte induit son revers, la griserie du casino, de la fièvre automobile. Il se fait attendre mais il arrive, le grain de sable qui fait dérailler le précieux agencement de façade et justifie le titre... Merveilleuse Déborah Kerr ! L.Ventriloque