LE REPTILE - 1970

Titre VF LE REPTILE
Titre VO There was a crooked man
Année de réalisation 1970
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h06
Genre WESTERN
Notation 16
Date de sortie en France 19/09/1970
Thème(s)
Chefs-d'oeuvre (Western)
Prisons (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
MANKIEWICZ Joseph Leo
Chef(s) Opérateur(s)
STRADLING Harry (junior)
Musique
STROUSE Charles
Renseignements complémentaires
Scénario : David Newman
et Robert Benton .....
Chanson interprétée par Trini Lopez
Produit par Joseph L. Mankiewicz
Distribution : Warner Bros

Visa d'exploitation : 37 648
Acteurs
DOUGLAS Kirk
FONDA Henry
CRONYN Hume
OATES Warren
MEREDITH Burgess
RANDOLPH John
O'CONNELL Arthur
GABEL Martin
BLODGETT Michael
HALE Alan (junior)
FRENCH Victor
GRANT Lee
FREED Bert
EVANS Gene
COOPER Jeanne
MAC NEIL Claudia
HENSLEY Pamela
YANG C. K.
RHOADES Barbara
MAC KINLEY J. Edward
CAESAR Harry
HOLCOMBE Harry
DORAN Ann
FOULGER Byron
CLARK Bill
CREED Roger
NEWLAN Paul
HERRON Robert
FISHMAN Duke
Résumé

Paris Pitman (junior), bandit de grands chemins, est incarcéré dans un pénitencier de l'Arizona, pour avoir dérobé 500.000 dollars, toujours planqués dans une secrète et subtile cachette, quelque part dans le vaste désert. Forte tête et meneur habile, préparant subrepticement son évasion, il saura s'attirer la sympathie du nouveau directeur de la prison, un ancien shérif qui n'est pas né de la dernière pluie...

>>> Superbe et pertinent western psychologique d'une densité exceptionnelle, jamais dénué d'un certain humour et d'une profonde vérité humaine et sociale...

Bibliographie
- Positif numéro 121
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Télérama numéros 1080 et 1325
- Cinéma 70 numéro 150
- Cahiers du Cinéma numéro 225
- Image et Son numéro 245
- Télé-Ciné numéro 168
- Les Lettres Françaises numéro 1352
- Cinémonde numéro 1799
Critiques (Public)
19/20 : En parcourant l'affiche, je me disais "un western", un de plus avec les codes américains, ou alors une variante de western spaghetti, aucune femme en vedette, on va avoir de la cogne, une lutte sans merci entre Fonda et Douglas, en plus que ça se passe en taule, un magot motive chacun, bref, j'y allais à reculons... Et bien, j'avais tort, c'est époustouflant de drôlerie, avec les surprises comme ce cinéaste sait les amener, et les femmes, si elles ne font que passer, ne manquent pas pour autant. Tout en couleurs, la bande-son signale que la légèreté est de mise (scènes croustillantes du hold-up dans la famille, du bain des bagnards...). On attend le fameux reptile, à moins que ce soit l'un des protagonistes, le moins scrupuleux ? Vrai qu'il reste les serpents dans le panty avec les billets, super planque... On a droit à l'habituelle pirouette en prenant congé, mais avec une morale à demi-sauve seulement. Plein de santé de bout en bout !  L.Ventriloque