L'EMPRISE - 1934

Titre VF L'EMPRISE
Titre VO Of human bondage
Année de réalisation 1934
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h23
Genre DRAME
Notation 14
Date de sortie en France 28/09/1934
Thème(s)
Maugham (Somerset)
Tuberculose (tous pays confondus)
Tour Eiffel (tous pays confondus)
Boiteux et claudication (tous pays confondus)
Pied bot (tous pays confondus)
Peintres, peinture et tableaux (Cinéma américain)
Milieu médical (Cinéma américain)
Rêves et cauchemars (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
CROMWELL John
Chef(s) Opérateur(s)
GERRARD Henry
Musique
STEINER Max
Renseignements complémentaires
Scénario : Lester Cohen
d'après le roman de Somerset Maugham :
"Servitude humaine" .....
Produit par Pandro S. Berman
Distribution : RKO

Nota : pour les trois derniers acteurs, scènes coupées au montage .....
Acteurs
HOWARD Leslie
DAVIS Bette
DEE Frances
JOHNSON Kay
DENNY Reginald
HALE Alan
OWEN Reginald
SHEFFIELD Reginald
ROBERTS Desmond
ALLEN Harry
ATCHLEY Ray
BAKER Frank
BERESFORD Evelyn
CASEY Jimmy
CURLY Ma
FITZPATRICK Byron
GORDON Douglas
GRANDETTA Frankie
HUGHES Tommy
MILLS Billy
NEAHAN Nat
PIGOTT Tempe
RICH Irene
ROSLEY Adrian
SCHWAB Frank
SULLIVAN Al
WILSON Madeline
COLEMAN Charles
MILLS Frank
SOMERSET Pat
Résumé

Handicapé (surtout psychologiquement) par un pudique pied bot, Philip Carey traîne une existence discrète et solitaire, dans un animé quartier parisien, avec l'espoir de quelques ambitions artistiques via la peinture. Finalement convaincu par un de ses anciens professeurs de son inaptitude profonde à trouver un épanouissement dans la créativité picturale, il quitte la capitale française pour l'université londonienne, suivre une formation médicale. Rencontre avec Mildred Rogers, une dynamique et séduisante serveuse qui le bouleverse en profondeur et qu'il tente d'intéresser à sa cause, à ses permanents émois amoureux, envers celle qui, avec une sordide et sournoise ténacité, ne pense qu'à profiter du fragile jeune homme. Commence une insipide et détestable relation binaire dans laquelle l'exécrable créature, sur fond de pendables ruptures et de fausses retrouvailles, laissera témoigner sa vraie nature maladive et monstrueuse...

>>> Une thématique fort banale dans l'exercice cinématographique de la liaison amoureuse perverse et pervertie, dans le septième art, qu'entérine une nouvelle fois l'étonnante interprétation de Bette Davis devenue véritablement la symbolique même de l'intemporelle mégère tourmentée et ravageuse, plus vraie que nature...

Bibliographie
- Jeune Cinéma n° 387
- Cinémonde n° 312 et 313
- Pour Vous n° 307
- Positif n° 240
- L'Avant-Scène Cinéma n° 652
- Cinémagazine 1934 n° 26
Critiques (Public)