LA MORT EN DIRECT - 1979

Titre VF LA MORT EN DIRECT
Titre VO
Autres titre VO Death watch
Autres titre VO Der gekaufte Tod
Année de réalisation 1979
Nationalité France / Allemagne
Durée 2h09
Genre FANTASTIQUE
Notation 11
Date de sortie en France 23/01/1980
Thème(s)
Anticipation (Cinéma français)
Télévision (Cinéma français)
Cancer (Cinéma français)
Voyeurisme (Cinéma français)
Greffes / Trafics d'organes
Maladies incurables
Réalisateur(s)
TAVERNIER Bertrand
Chef(s) Opérateur(s)
GLENN Pierre-William
Musique
DUHAMEL Antoine
Renseignements complémentaires
Scénario : David Rayfiel
et Bertrand Tavernier .....
d'après le roman de David Compton :
"The continuous Katherine Mortenhoe" .....
Distribution : Planfilm
Produit par Gabriel Boustani

Visa d'exploitation : 46 434

Nota : film dédié à Jacques Tourneur .....
Acteurs
SCHNEIDER Romy
KEITEL Harvey
STANTON Harry Dean
LIOTARD Thérèse
RUSSELL William (2)
GLOWNA Vadim
VON SYDOW Max
MEINEKE Eva-Maria
YOUNG Paul
WICKI Bernhard
KELLY Peter
BOARDLEY Freddie
BOUTCHER Roy
PEATE David
COLTRANE Robbie
COPPIN Nicholas
D'ARCY Jake
NELSON Boyd
JACK Maureen
KINGHORN Sally
OLIVER Jonathan
SWEENEY Judith
ROYLE Derek
RIDDOCH Bill
SHEDDON John
NORMINGTON John
SYLVESTER Vari
LANGRISHE Caroline
WILSON Carey (2)
DEWAR Joanna
SCHUSTER Ida
HOUGH Julian
SCHNEIDER David (3)
Résumé

Un avisé producteur de télévision imagine de faire greffer une minuscule et discrète caméra dans l'oeil d'un opérateur pour filmer les derniers jours d'une femme inexorablement condamnée par une terrible maladie incurable. En effet, Vincent Ferriman est prêt à tout pour jouer sur l'audimat de sa chaîne et charge donc un de ses employés, caméraman de métier, prénommé Roddy, de filmer par un subtil stratagème médico-technique, les derniers moments de Katherine Mortenhoe...

>>> Oeuvre "fantastique" qui malgré un sujet en or n'arrive jamais à nous envoûter.

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Positif numéro 227
Critiques (Public)
Telle qu'elle est racontée (et avec des dialogues pareils) une histoire hautement improbable, quoique dégageant un charme certain (la fin de Harvey Keitel, acteur décidement de très grand charisme anti-star). Le cynisme qu'emprunte le ton du film est peut-être bien vu, mais il tombe cependant à plat, car il ne semble pas venir naturellement : c'est un cynisme obligé, ad hoc, de circonstance. Bon point cependant (si j'ose dire) au couple Keitel-Schneider (et réciproquement), que l'on pourra comparer à son homologue d' »Ironweed », Nicholson-Streep. 
WILLIE THE KID.