Ernesto retourne un jour dans le petit village montagnard de San Luis pour évoquer les faits qui émurent son enfance. Il se souvient de son premier amour, Luciana, la fille du contremaître, Andrada, propriétaire foncier et ennemi de la coopérative de Valle Bermejo fondée par deux résistants péronistes exilés un temps en Espagne : Ana et Mario qui continuèrent à lutter pour leurs idéaux, l'égalité et la solidarité. Leur enseignement a depuis lors marqué Ernesto, qui sait que l'important n'est pas de gagner, mais de lutter pour vivre .....
Bibliographie
- Saison Cinématographique 1993
- Mensuel du Cinéma numéro 4
- Première numéro 192
- Studio numéro 71
- Positif numéro 386
- Télérama numéro 2252
Critiques (Public)
Un film très émouvant, cruel comme la vie. A Valle Bermejo comme ailleurs, les différences d'argent et d'idées détruisent tout. Rien ne change, mais on continue à rêver. Simple et magnifiquement interprété. Je pense que c'est un film que je n'oublierai pas.
Maxime