LES CENTURIONS - 1966

Titre VF LES CENTURIONS
Titre VO Lost command
Année de réalisation 1966
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h09
Genre GUERRE
Notation 4
Date de sortie en France 07/10/1966
Thème(s)
Guerres coloniales françaises
Réalisateur(s)
ROBSON Mark
Chef(s) Opérateur(s)
SURTEES Robert
Musique
WAXMAN Franz
Renseignements complémentaires
Scénario : Nelson Gidding
d'après le roman de Jean Larteguy .....
Produit par Mark Robson
Distribution : Columbia

Visa d'exploitation : 31 957
Acteurs
QUINN Anthony
DELON Alain
CARDINALE Claudia
SEGAL George
RONET Maurice
MORGAN Michèle
SERVAIS Jean
ASLAN Grégoire
BERCQ Jean-Claude
MARIN Jacques
RIGAUD Georges
MESTRAL Armand
LAMONT Syl
SARFATI Maurice
MONREAL Andres
MOULINOT Jean-Paul
SIMONO Albert
HEATH Gordon
KELLEY Walter
HAVARD René
KWOUK Burt
MULOCK Al
BURKE Marie
SAMBRELL Aldo
ROBLES Roberto
CARRER Emilio
TARRAZO Carmen
HAGAN Howard
DE BARROS Mario
SUTTON Robert
BENZAKEIN Simon
QUIROGA Hector
DE POMES Felix
BARRI Barta
DE BLAS Manuel
SAN EMETERIO Jacinto
DAS BOLAS Xan
Résumé

Durant la dramatique guerre d'Algérie, un lieutenant parachutiste se retrouve opposé à un ancien officier arabe connu durant la guerre d'Indochine, maintenant du côté des rebelles du F.L.N. (Front de Libération National)...

>>> Les centurions ou la virilité en bandoulière du minable et maniable Delon dans une "poitrinaire" adaptation d'un épisode douloureux et pas vraiment honorable de l'histoire de France. Quand le devoir devient une maladie spirituelle et la guerre, une fonction orgasmique. "Les bérets verts" français prennent leur pied et "Gégène" devient un patronyme commun et survolté. Sans intérêt aucun...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Dossiers Art et Essai numéro 13
Critiques (Public)
Une oeuvre abjecte qui présente le courage et l'héroïsme à hauteur de "couilles-mitraillettes", la guerre, comme une sainte nécessité, l'ennemi comme un sous-homme, sans honneur ni patrie. Un film "pute" à l'extrême, évoquant la torture en l'excusant, décrivant des exécutions et des ratonnades, les justifiant pour la noble cause. Uniquement pour "moraliser" le film, lui évitant les foudres de la censure, actes criminels pratiqués par tous, réprouvés par une minorité et pourtant encensés pour un devoir au-dessus des lois, de l'humanisme, du bons-sens.  ACHILLE