Le lent dérapage de Jacques Valère dans l'univers de la schizophrénie...
>>> Le délicat thème de la folie douce, du glissement progressif d'un être vers une forme d'autisme triomphant est admirablement amené par une caméra lucide et attentive, proche de l'implacable constat clinique. Certainement le meilleur rôle de Charles Denner, l'homme qui n'aimait plus les femmes...
Bibliographie
- Télérama numéro 716
- Cahiers du Cinéma numéros 158 et 160
- Télé-Ciné numéro 117
- Image et Son numéro 178
- Télérama numéro 991
- Fiche de Monsieur Cinéma.
Critiques (Public)
Une fois les masques tombés, il ne reste plus rien ? Un premier film énigmatique et prometteur du stimulant Jessua.