PEPE LE MOKO - 1936

Titre VF PEPE LE MOKO
Titre VO
Autres titres VF LES NUITS BLANCHES
Année de réalisation 1936
Nationalité France
Durée 1h26
Genre DRAME
Notation 16
Date de sortie en France 28/01/1937
Thème(s)
Jeanson (Henri)
Désertion et déserteurs (tous pays confondus)
Jeux (cartes)
Pianos mécaniques (tous pays confondus)
Jeux (cartes)
Réalisateur(s)
DUVIVIER Julien
Chef(s) Opérateur(s)
KRUGER Jules FOSSARD Marc
Musique
SCOTTO Vincent
Renseignements complémentaires
Scénario : Henri Jeanson
d'après un roman du détective Ashelbe
Dialogues : Henri Jeanson
Décors : Jacques Krauss

Visa d'exploitation : 787

Nota :

- Remakes en 1938 de John Cromwell et en 1948, de John Berry .....

- Affiche du film d'origine italienne .....
Acteurs
GABIN Jean
BALIN Mireille
NORO Line
GRIDOUX Lucas
GABRIO Gabriel
FABRE Saturnin
FREHEL
MODOT Gaston
LEGRIS Roger
GRANVAL Charles
BERGERON René
GIL Gilbert
CHARPIN Fernand
DALIO Marcel
ESCOFFIER Paul
RICHARD Philippe
TEMERSON Jean
OZANNE Robert
MAURICE Frank
CHARLES Marcel
LORD Olga
CARL Renée
PECLET Georges
CHITTISON Hermann
Résumé

A Alger, un célèbre gangster à la tête d'une redoutable bande de malfrats défie la police en trouvant systématiquement refuge dans les innombrables ruelles mystérieuses de la Casbah. L'amour d'une femme va le faire sortir de son impénétrable tanière et le perdre.

>>> Un des grands rôles du père Gabin, qui imposa sa stature légendaire et son flegme bourru au coeur tendre, à des générations de cinéphiles émerveillés...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Ecrans de France numéro 193
- Avant-Scène numéro 269
- Fiche IDHEC
- Cinématographe numéro 65
- Cinéma numéros 29, 339
- Image et Son numéros 2, 82, 259
- Positif numéro 487
- Pour Vous numéros 429, 432, 433, 434, 437, 441
Critiques (Public)

Pépé le Moko, malfaiteur calfeutré et protégé dans un labyrinthe sécuritaire lui ôtant tous repères sensibles, redécouvre l’art d’aimer et ses procédures, suite à une vision sublime. Un appât rapatrié sur site par un inspecteur de police revanchard. Un malfrat condamné au placard éternel se fragilise jusqu'à l’extrême, en se libérant d’une enveloppe environnante méfiante et agressive, fabriquée par des accompagnateurs poisseux, paresseux, possessifs, sales, toujours prêt à trahir pour se répandre à l’aide d’un paroxysme émotionnel, vers un sacrifice amoureux, faisant d’une bête aux abois, un homme reconstruit par l'attirance. Un beau film sur le réveil des sens, dans un environnement carcéral protecteur, mais isolant une ressource d'un patrimoine quitté précipitamment, que l'on redécouvre à deux le temps d’un souffle. JIPI