Zorg vit une existence bien tranquille, en écrivant des textes qu'il ne cherche même pas à faire publier. Survient la pulpeuse Betty, qui débarque dans sa vie, s'installant chez lui au bout de quelques jours et découvre ses textes. Persuadée que Zorg est un génie littéraire et qu'il l'aime, elle s'est mis en tête de le sortir de son anonymat. Dès cet instant, la paisible vie de Zorg va subir des changements radicaux, et Betty va lentement sombrer dans la folie, suite aux nombreux refus de bien des éditeurs...
>>> Un assez beau film, de magnifiques images et un sujet passionnant...
Bibliographie
- Saison Cinématographique 1991
- Revue du Cinéma numéros 416 et 474
- Studio numéro 52
- Cinématographe numéros 118, 120 et 125
- Télérama numéros 1874, 1891 et 2247
- Cinéma numéro 349
- L'Avant-Scène numéro 550
- Positif numéro 303
- Jeune Cinéma numéros 175 et 186
- Saison Cinématographique 1986 et 1991
Critiques (Public)
C'est peut-être et même surement un très beau film, mais le problème est que Béatrice Dalle n'arrive pas à donner assez de compassion à son personnage. Elle joue à mon avis très mal, de part un corps qui pourrait être mieux et par une voix qui pourrait être plus suave... A quoi ca sert de faire encore un cinéma comme çà ?
C'est le plus beau film que j'ai jamais vu. Grâce à lui, j'ai compris l'importance de l'amour dans notre vie et qu'il faut le préserver. Les deux acteurs sont parfaits quoique Dalle récite trop. J'ai déjà vu le film 6 fois et à chaque fois que le mot fin s'affiche, j'ai l'impression d'avoir perdu quelqu'un de cher...
ABP
Des images admirables et une musique sublime pour une oeuvre qui se revoit avec nostalgie, plaisir et surtout une
immense émotion. Un film inoubliable,
l'un des plus beaux du cinéma français
des années 1980.
De ce film très chiant, symbole d'une génération (simplement un effet de mode), il ne restera que l'interprétation de Jean-Hugues Anglade et d'une pierre précieuse pas encore polie : Béatrice Dalle.
L'amour, la folie, l'écriture, l'attente, l'absurde, la mort... autant de thèmes qui rendent ce film intemporel.
  TY