LE SOURIRE - 1994

Titre VF LE SOURIRE
Titre VO
Année de réalisation 1994
Nationalité France
Durée 1h30
Genre COMEDIE
Notation 6
Date de sortie en France 17/08/1994
Thème(s)
Folies, démences et autres dérangements de l'esprit (Cinéma français)
Fêtes foraines et parcs d'attractions (Cinéma français)
Tennis (tous pays confondus)
Grand huit et montagnes russes (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
MILLER Claude
Chef(s) Opérateur(s)
SCHIFFMAN Guillaume
Musique
BOSCHERON Pierre GLENN Vincent OUVRIER Antoine
Renseignements complémentaires
Scénario et dialogues : Claude Miller
Distribution : AMLF

Visa d'exploitation : 82 257

Nota : avec un extrait du film d'Ingmar Bergman : "L'heure du loup" .....
Acteurs
BOHRINGER Richard
MARIELLE Jean-Pierre
SEIGNER Emmanuelle
BANLIER Chantal
BARENTIN Nadia
CARDONE Nathalie
VERLEY Bernard
NAHYR Maite
PASCAL Christine
BENUREAU Didier
SAVARY Jeanne
SEIGNER Mathilde
DUSSART Noella
MONGODIN Kathy
VANDAMME Cynthia
BONNAIRE Jean-Paul
TINGRY Sabine
ANNE Myriam
JOLEC Annie
JONVILLE Pascale
PICARD Caroline
NERCESSIAN Jacky
Résumé

Neuropsychiatre et directeur d'une clinique privée, le professeur Pierre François le Clainche vient d'apprendre qu'il lui reste peu de temps à vivre, taraudé par un imminent infarctus. Ce qui ne l'empêche pas de s'amouracher d'une délicieuse joueuse de tennis, prénommée Odile qui se sent bien des faiblesses pour un bonimenteur de foire Jeanjean, responsable d'une baraque de striptease, le "Roule-Roule"...

>>> Un scénario sans queue ni tête, hormis les érectiles dialogues post-andropausés d'un Miller fantomatique, à la portée du premier imbécile venu...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Film Français numéro 2517
- Première numéro 210
- Studio numéro 90
- Positif numéro 403
- Cahiers du Cinéma numéro 483
- Télérama numéro 2327
- Nouvel Observateur numéro 1554
- Le Point numéro 1144
- Le Monde du 18 août 1994
Critiques (Public)
J'ai trouvé ce film plein de charme et de poésie, et surtout un JP Marielle très touchant. Un peu de poésie dans ce monde cruel n'est pas si désagréable D.RUELLE

Il est vrai que ce film engendre parfois la poésie, seulement les dialogues sont bien trop crus et certaines images trop provocantes pour qualifier cette oeuvre de bonne. L'ensemble reste d'un niveau tout juste moyen pour attirer l'attention et une fin en queue de poisson rajoute encore un point négatif. La confrontation entre Marielle et Bohringer est donc raté. Claude Miller nous a habitué à bien mieux avec "Garde à vue,"Mortelle randonnée" LUNDI 30 JUIN 1997