Le Brésil, Brahms l'Antéchrist et quatre Christ : l'Indien, le Nègre, le Militaire et le Guérillero pour une vision irracontable d'un délire baroque quasi hallucinatoire. Un déferlement mystico-politique d'une étonnante densité qui n'échappe pas toujours à la confusion et au désordre. Une certaine poésie se dégage cependant, par moments, de cette éprouvante fable signée par un brillant représentant du "cinéma nuovo"...