BESSIE A BROADWAY - 1928

Titre VF BESSIE A BROADWAY
Titre VO The matinee idol
Année de réalisation 1928
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h05
Genre COMEDIE
Notation 17
Date de sortie en France
Thème(s)
Théâtre ambulant / itinérant (tous pays confondus)
Guerre de Secession (Cinéma américain)
Bals (soirées) costumé(e)s (et ) (ou) masqué(e)s
Milieu du théâtre (Cinéma américain)
Surdité (Cinéma américain)
Milieu du music-hall et du show-biz (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
CAPRA Frank
Chef(s) Opérateur(s)
TANNURA Philip
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Peter Milne
d'après une histoire de Robert Lord
et Ernest Pagano .....
Adaptation : Elmer Harris
Produit par Harry Cohn
Distribution : Columbia
Acteurs
LOVE Bessie
WALKER Johnnie
BELMORE Lionel
HILLIARD Ernest
D'ALBROOK Sidney
MIR David
BRACEY Sidney
GORDON Mary
Résumé

Un célèbre fantaisiste new-yorkais, Don Wilson, idôle des foules et des femmes (plus de cinq cents lettres d'admiratrices par jour) qui triomphe sur toutes les scènes de Broadway avec un étonnant numéro chanté et dansé dans lequel il officie, grimé en Noir, accepte, sous l'injonction de son directeur de revue, de partir un long week-end, avec ce dernier et deux autres amis, à la campagne, pour un court moment de repos et de détente bien mérité. Hélas, notre quatuor tombe en panne de voiture au fin fond de nulle part, avec un garagiste absent pour quelques heures. En effet, toute la population locale se retrouve sous la tente d'un théâtre ambulant, montée par la troupe des "Bolivar Players" qui interprète un calamiteux mélodrame censé se dérouler durant la Guerre de Sécession qui plaît fort aux autochtones. Alors que ses amis décident à contre-coeur d'assister à la représentation, Don se retrouve engagé par la délicieuse Bessie Bolivar, (qui ne le reconnaît pas) après la défection d'un acteur, pour jouer le rôle d'un soldat expirant dans les bras de sa bien-aimée. Arnold Wingate, le mentor de Don Wilson, se détermine à inviter toute la troupe à Broadway, prévoyant un énorme succès hilarant à cause de l'amateurisme criant et de la balourdise évidente de l'interprétation. Don est bien sûr "engagé" sous le pseudonyme d'Harry Mann, et commence de plus en plus à se sentir bien des attirances pour la dynamique Bessie...

>>> Septième réalisation de Frank Capra ou les tendres conséquences à savoir dire correctement "je t'aime" au théâtre. Un petit bonheur de film, considéré longtemps comme définitivement perdu (une copie VF fut retrouvée en 1994 à la Cinémathèque Française) tourné en six semaines, d'une joyeuse pétulance, entre émotion diffuse et jubilation soutenue, qu'il importe de voir ou de revoir d'urgence...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)