CHUNGKING EXPRESS - 1994

Titre VF CHUNGKING EXPRESS
Titre VO Chongqing senlin
Année de réalisation 1994
Nationalité Hong Kong
Durée 1h37
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 16
Date de sortie en France 22/03/1995
Thème(s)
Cinéma hongkongais (ORIGINE)
Drogue -trafic- (Autres pays)
Réalisateur(s)
WONG Kar-Wai
Chef(s) Opérateur(s)
LAU Wai Keung DOYLE Christopher
Musique
GALASSO Michael CHAN Frankie GARCIA Roel A.
Renseignements complémentaires
Scénario : Kar-Wai Wong
Distribution : ARP / UGC

Visa d'exploitation : 87 620
Acteurs
LIN Brigitte
KANESHIRO Takeshi
LEUNG Tony
WONG Faye
CHOW Valérie
Résumé

Dans l'animé quartier de Chungking House à Kowloon, l'histoire de deux rencontres : celle de Chi-Wu Ho, un jeune policier répudié par sa petite amie, qui noie son profond chagrin dans un bar et décide de s'éprendre de la première femme qu'il croisera. Il s'agira d'une mystérieuse "trafiquante" de drogue qui porte une perruque blonde et des lunettes de soleil. Et celle d'un autre flic, plus âgé, lui aussi délaissé par sa compagne, qui prend tous les soirs un repas dans le même fast-food. La serveuse s'éprend de lui et entre en possession des clés de son appartement dans lequel elle s'introduit...

>>> Vraiment séduisant et par instant, presque magique...

Bibliographie
- Impact numéro 55
- Saison Cinématographique 1995
- Film Français numéro 2548
- Première numéro 217
- Positif numéros 408-410
- Cahiers du Cinéma numéro 490
- Télérama numéro 2358
- Nouvel Observateur numéro 1584
- L'Express numéro 2281
- Le Point numéro 1174
- Le Canard Enchaîné du 22/03/1995
- le Monde du 23/03/1995
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
15/20 : Ce que je trouve éblouissant chez Wong Kar-Waï, en tous cas dans ce film : sa manière de laisser planer. Agacer positivement en servant des images entrelacées, chaotiques, ralenties, avec des touches à la limite du stupide pour nous occidentaux ("California dreaming" rabaché jusqu'à plus soif, dialogues de sourds entre hommes et femmes, mystère des yeux derrière les lunettes de soleil, ou jouer à l'avion comme un tout petit). Et pourtant, au bout du compte, et avec l'aide de très beaux spécimens à l'écran (mis en valeur dans le secret de leur âme par quelques images bien ciblées) une intrigue touchante se dessine (personnage de la jeune fille hyperactive fascinante dans son esquive constante). Une frustration cependant : mille regrets que le jeune homme de départ, très sexy comme pourrait l'être un Léonardo di Caprio asiatique, cède soudain l'écran à un deuxième, plus quelconque, auquel j'ai eu du mal à m'habituer. L.Ventriloque