LE COLOSSE DE RHODES - 1960

Titre VF LE COLOSSE DE RHODES
Titre VO Il colosso di Rodi
Autres titre VO El coloso de Rodas
Année de réalisation 1960
Nationalité Italie / Espagne
Durée 2h25
Genre PEPLUM
Notation
Date de sortie en France 11/08/1961
Thème(s)
Tremblements de terre (tous pays confondus)
Péplums (Cinéma italien)
Mercenaires
Cinéma italien (ORIGINE)
Lance-pierres et autres frondes (tous pays confondus)
Poisons (Cinéma italien)
Gladiateurs (Cinéma italien)
Réalisateur(s)
LEONE Sergio
Chef(s) Opérateur(s)
BALLESTEROS Antonio L. FORISCOT Emilio
Musique
LAVAGNINO Angelo Francesco
Renseignements complémentaires
Scénario : Luciano Chitarrini,
Carlo Gualtieri, Aggeo Savioli,
Duccio Tessari, Ennio de Concini,
Cesare Seccia, Luciano Martino
et Sergio Leone .....
Distribution : CFF

Visa d'exploitation : 23 579

Nota :

- Alfio Caltabiano a tourné sous le pseudonyme d'Alfio Caltaviano .....
Acteurs
MASSARI Lea
MARCHAL Georges
CALHOUN Rory
SAN MARTIN Conrado
ARANDA Angel
RIGAUD Georges
FERNANDEZ Felix
TAMBERLANI Carlo
KARR Mabel
CAMARDIEL Roberto
PALMARA Mimmo
CALTABIANO Alfio
CASAS Antonio
DE VILCHES Jose
LARVOR Yann
DOLCE Ignazio
CALZADO Fernando
MENENDEZ Angel
GROSRE Arturo
PAZZAFINI Nello
HERNANDEZ Rafael
HUERTA Cris
LONATI Ada
Résumé

L'ancestrale ville de Rhodes, avec son immense statue à l'entrée du port est le centre de cette histoire de lutte entre le méchant tyran Xérès et ses mercenaires phéniciens contre un groupe de rebelles fort sympathiques. Nous retrouvons ainsi le séduisant Darius, la belle Mirte, le despotique Xeres et le révolté Périclès...

>>> Second long métrage de Sergio Leone, qui se révèle déjà un metteur en scène étonnant dans sa composition de l'image et sa recherche esthétique souvent grandiose.

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinéma numéro 60
- Cinémonde numéros 1409 et 1412
- Saison Cinématographique 1962
- Télérama numéro 607
- Les Lettres Françaises numéro 890
Critiques (Public)
L’apogée du carton pâte dans une suite de scènes ressemblant plus à un défilé de lingerie colorée couvrant à peine les corps qu’à un reconstitué historique digne d’être validé. Le raz de marée final cache une usine à gaz presse bouton faisant s’écrouler les édifices dans un synchronisme fantaisiste. Certaines pierres et colonnes rebondissant comme des balles de ping-pong montrent les limites d’un agréable spectacle dont la fonction première est de divertir sans prises de têtes. Une retour nostalgique dans l'univers du cinéma de quartier. JIPI