Au volant d'une voiture de sport, Bruno cherche un endroit d'où téléphoner. Il fait la connaissance d'un étudiant timide qu'il va entraîner pendant deux jours dans une grande virée fantaisiste. Roberto va se laisser prendre au jeu de ce personnage plein de charme, mais cette rencontre finira tragiquement pour lui...
>>> Malgré une certaine schématisation, ce film est remarquablement interprété. Il pose le problème d'une vie au jour le jour sur laquelle plane l'ombre d'un avenir inquiétant...
Bibliographie
- Saison Cinématographique 1963
- Cinématographe numéros 80 et 86
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéro 147
- Positif numéros 53, 60, 142, HS avril 1992, 387 et 476
- Cinéma numéros 79 et 290
- Télérama numéro 1696
- La Revue du Cinéma numéro 205
Critiques (Public)
J'avais toujours eu l'impression que c'était Bruno qui mourait en voiture à la fin du film, ne l'ayant pas vu, mais je comprends maintenant que l'esprit "Bruno" est toujours là en l'humanité, comme Brancaleone, par exemple. Nous nous identifions dans et pendant le film à Roberto, donc il est juste qu'il meure pour renaître toujours à la prochaine exhibition. 
Miguel Oniga, Rio de Janeiro