REFLETS DANS UN OEIL D'OR - 1967

Titre VF REFLETS DANS UN OEIL D'OR
Titre VO Reflections in a golden eye
Année de réalisation 1967
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h50
Genre DRAME PSYCHOLOGIQUE
Notation 15
Date de sortie en France 03/04/1968
Thème(s)
Homosexualité masculine (Cinéma américain)
Armée (Cinéma américain)
Mac Cullers (Carson)
Polo (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
HUSTON John
Chef(s) Opérateur(s)
MORRIS Oswald TONTI Aldo
Musique
MAYUZUMI Toshiro
Renseignements complémentaires
Scénario : Chapman Mortimer
et Gladys Hill .....
d'après le roman de Carson Mac Cullers
Distribution : Warner Bros
Produit par Ray Stark

Visa d'exploitation : 34 276
Acteurs
BRANDO Marlon
TAYLOR Elizabeth
KEITH Brian
HARRIS Julie
FORSTER Robert
DAVID Zorro
MITCHELL Gordon
DUGAN Irvin
SPARKS Fay
STARK Douglas
DERRINGER Bill
CALLAGHAN John
MULOCK Al
BENIADES Ted
LOUIK Leonard
VON LEDEBUR Friedrich
Résumé

Quelque part dans l'état de Georgie, dans une morne garnison militaire, Léonora Penderton, l'épouse insatisfaite d'un major du casernement, s'ennuie à mourir. Elle a pris discrètement pour amant le lieutenant Langton tandis que son gradé de mari s'intéresse de très près à un fringant soldat qui a l'érotique et plutôt étrange habitude de chevaucher nu, sur la lande environnante...

>>> Une intéressante réflexion sur la fragilité des apparences quand le masque de la respectabilité et de l'hypocrisie s'émiette et que surgissent l'inavouable et le refoulé...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Télérama numéro 953
- Dossiers Art et Essai numéro 45
- Cinéma numéro 127
- Positif numéro 96
- Première numéro 299
- Cahiers du Cinéma numéro 199-200/201
- Nouvel Observateur du 10 avril 1968
- Le Monde du 9 avril 1968
Critiques (Public)
A la vision du film, on ne peut être que mitigé : chef-d'oeuvre ou ratage complet joué par deux stars pathétiques, fanées et bedonnantes, caricatures de sex-symbol : Taylor (nymphomane) et Brando à l'érotisme (bisexuel) toujours trouble... Il en résulte un goût amer dans la bouche assez malsain. Le plan panoramique de fin est ridicule. Julie Harris est très bien comme d'habitude.  AXEL.