COMMENT JE ME SUIS DISPUTE... (MA VIE SEXUELLE) - 1996

Titre VF COMMENT JE ME SUIS DISPUTE... (MA VIE SEXUELLE)
Titre VO
Année de réalisation 1996
Nationalité France
Durée 2h58
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 14
Date de sortie en France 12/06/1996
Thème(s)
Réalisateur(s)
DESPLECHIN Arnaud
Chef(s) Opérateur(s)
GAUTIER Eric FONTAINE Stéphane PERRIER-ROYER Dominique
Musique
LEVY Krishna VIVALDI Antonio
Renseignements complémentaires
Scénario et adaptation : Emmanuel Bourdieu
et Arnaud Desplechin .....
Distribution : Bac Films

Visa d'exploitation : 84 133

Nota :

- César 1996 du meilleur espoir masculin pour Mathieu Alric .....
Acteurs
AMALRIC Mathieu
DEVOS Emmanuelle
PODALYDES Denis
SALINGER Emmanuel
BALIBAR Jeanne
DENICOURT Marianne
LAPIOWER Hélène
DE MONTALEMBERT Thibault
AMSTUTZ Roland
MASTROIANNI Chiara
COTILLARD Marion
DESPLECHIN Fabrice
JARNIOU Solenn
VUILLERMOZ Michel
DUCLOS Philippe
MABY Elisabeth
ANNEN Paule
NORMANT Anne-Katerine
NEMETH Vincent
GABISON Alain David
REYES Jonathan
RICARD Florence
RACINE Djemila
REGENT Antoine
CHAVY Barbara
RIBEIRO Paolo sergio
LE YOUDEC Erwan
DUPIRE Pierre-Emmanuel
HUNET Muriel
Résumé

Chassés-croisés amoureux, entre séduction et reconnaissance, difficultés relationnelles, sexe, mensonges et des(illusions) mettant en s(cène) quatre personnages féminins et sept figures masculines...

>>> Arnaud Desplechin est toujours aussi brillant dans sa magistrale et mouvante scénographie des âmes en peine d'existence et de compréhension de leur mécanisme vital. Mais que cela devient finalement vain et dérisoire, déconnecté des réalites économiques et sociales et quelque part d'une préciosité dérangeante...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Difficile de parler comme çà, en assez peu de lignes, d'un film qui vous fait voyager aux confins du normal avec ce petit décalage en plus, qu'un Rohmer par exemple n'arrive plus à saisir... Trois heures absolument éblouissantes servies par des comédiens en état de grâce, une mise en scène extraordinaire, des dialogues brillants. Et pour les sceptiques (ils seront sûrement nombreux...) la vision de quelques scènes fulgurantes (l'enfant qui parle de son père mort...) devrait les aider à saisir l'ampleur d'un tel (je pèse mes mots) chef-d'oeuvre.
Stéphane Czopek. GRENOBLE.