LE MASSACRE DES MORTS-VIVANTS - 1974

Titre VF LE MASSACRE DES MORTS-VIVANTS
Titre VO Fin de semana para los muertos
Autres titre VO Non si deve profanare il sonno dei morti
Autres titre VO No profanar el sueno de los muertos
Année de réalisation 1974
Nationalité Espagne
Durée 1h33
Genre HORREUR
Notation 8
Date de sortie en France 28/11/1974
Thème(s)
Morts-vivants (Cinéma espagnol)
Cinéma espagnol (ORIGINE)
Ecologie
Cannibalisme
Réalisateur(s)
GRAU Jorge
Chef(s) Opérateur(s)
SEMPERE Francisco
Musique
SORGINI Giuliano
Renseignements complémentaires
Scénario : Sandro Continenza,
Marcello Coscia, Juan Cobos
et Miguel Rubio .....
Effets spéciaux : Luciana Bird
Produit par Edmondo Amati .....
Distribution : Mondial
Acteurs
LOVELOCK Ray
KENNEDY Arthur
GALBO Cristina
MASSASSO Aldo
TRESTINI Giorgio
POSSE Roberto
MESTRE Jeannine
LIFANTE José
GATTI Gengher
HILBECK Fernando
DRUDI Vera
VEGA Vicente
SANZ Paco
BENSON Paul
COLBY Anita
HINOJOSA Joaquin
MESTRES Isabel
SALIER Vito
Résumé

Alors qu'Edna Simmonds s'en allait rendre visite à sa soeur, dans la campagne écossaise, elle endommage accidentellement la moto d'un quidam un certain George Meaning, qui consent, à l'accompagner, avant de se faire déposer à sa destination. Peu après, Edna est sauvagement agressée par un clochard qui était décédé la veille. Etrange et inquiétante situation qui semble avoir pour point de départ une machine censée être révolutionnaire, utilisée pour la destruction des insectes, dans les champs, et dont les ondes affectent en fin de compte les morts et les nouveau-nés...

>>> On a vu pire, on a vu bien mieux...

Bibliographie
Critiques (Public)
Sous un titre français très racoleur, un film de zombies anglo-espagnol réussi, réalisé entre "La Nuit des morts-vivants" de Romero et "L'Enfer des zombies" de Fulci. Malgré le budget visiblement serré, le catalan Jordi Grau offre une mise en scène vraiment correcte (dès la scène d’introduction à Manchester, qui rappelle "Blow Up") et fait preuve d’originalité et d’intelligence : le choix de la campagne anglaise, le gore varié (éviscérations, cannibalisme, arrachage de poitrine, entre autres), les bruits de respirations angoissante... Le film porte également un message politique intéressant (erreurs policières, dangers écologiques, intolérance) : Ray Lovelock et Cristina Galbó (cf. "La Résidence") luttent contre les morts, mais aussi contre les vivants...
J’aurais donné au moins 15/20 !
Max