Scénario : Akiva Goldsman
d'après le roman de John Grisham .....
Distribution : Warner Bros
Produit par Arnon Milchan,
Michael Nathanson, Hunt Lowry
et John Grisham .....
Parce qu'il ne fait aucunement confiance en la justice, un père de famille, Carl Lee Hailey, tue les deux violeurs de sa petite fille noire, âgée de dix ans. Alors que le justicier prend pour défenseur un jeune avocat, un certain Jack Brigance, l'Etat est représenté par le juge Omar Noose, un conservateur endurci, l"affaire est instruite par un district attorney ambitieux et partisan de la peine de mort, Rufus Buckley. De plus, le Ku Klux Klan est rameuté pour défendre "l'honneur" des Blancs...
>>> Une oeuvre lourdement manichéenne et aux propos fort ambivalents...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Honte à l'abruti qui a osé mettre 11 sur 20 à ce navet irregardable! "A time to kill" est l'un des films les plus chiants que j'aie jamais vus. C'est vraiment un film pour débiles mentaux graves et les cas désespérés.. Quelle lourdeur ce film... Joel Schumacher nous fait une suprême grande leçon de morale. Le message qu'il veut faire passer est vraiment trop simpliste... Et pourtant, Joel-le-nul a eu besoin de 2h20 pour en faire une démonstration lourde, ennuyeuse, pesante, chiante, et pas du tout convaincante.. Au pire, ce film donne envie de participer au Ku-klux klan ! Oh mon dieu! C'est l'exemple-type de film qu'il faut censurer à mort! J'ai vomi après la projection. Si, si, c'est vrai !
La critique précédente est plutôt simpliste : ce film, s'il est vrai que ce n'est pas un chef-d'oeuvre ni même un très bon film, est pourtant diablement efficace. Certes le cas traité est extrême, simpliste, et on ne peut que prendre parti pour S.L. Jackson. Certes, le personnage jouée par Sandra Bullock est tout à fait inutile, mais on ne peut nier l'indéniable présence de Macconaughay, qui permet de garder un certain intérêt pour le film. Schumacher a parfois la main un peu lourde, mais on ne peut nier son sens du rythme et du spectacle. Ce film est parfois assez effrayant. En tout cas il ne mérite pas le mépris et la vulgarité du critique précédent. Loïc Pessaud, cinéphage.