DE BEAUX LENDEMAINS - 1997

Titre VF DE BEAUX LENDEMAINS
Titre VO The sweet hereafter
Année de réalisation 1997
Nationalité Canada
Durée 1h50
Genre DRAME PSYCHOLOGIQUE
Notation 17
Date de sortie en France 08/10/1997
Thème(s)
Cinéma canadien (ORIGINE)
Autobus et autocars (tous pays confondus)
Drogue -consommation- (Cinéma canadien)
Inceste (Autres pays)
Réalisateur(s)
EGOYAN Atom
Chef(s) Opérateur(s)
SAROSSY Paul
Musique
DANNA Mychael
Renseignements complémentaires
Scénario : Atom Egoyan
d'après le roman de Russell Banks .....
Distribution : ARP Sélection
Produit par Camelia Frieberg
et Atom Egoyan .....

Visa d'exploitation : 92 830

Nota :

- Prix de la Critique, Cannes 1997
Acteurs
HOLM Ian
DONALDSON Peter
KHANJIAN Arsinee
GREENWOOD Bruce
POLLEY Sarah
MAC CAMUS Tom
ROSE Gabrielle
WATSON Alberta
BANKS Caerthan
HEMBLEN David
JOHNSON Brooke
MORGENSTERN Stephanie
PASTKO Earl
KIEFERLE Kirsten
BAKER Simon
FRUITMAN Sarah rosen
DONATO Marc
FINN Devon
KRUCKER Fides
SOKOLOSKI Magdalena
WATTS James D.
DENTON Allegra
BANKS Russell
SZKODA Peter
Résumé

Les habitants d'une petite ville canadienne vivent recroquevillés dans la douleur du terrible accident de bus qui provoqua la mort de la plupart des enfants de la contrée. Mitchell Stephens, un avocat déchiré par la perte affective de sa fille droguée, s'est proposé de représenter les familles orphelines. Alors que d'aucuns préfèrent rester dans leur douleur, certains adhèrent à la revendication de l'avocat. La petite communauté retrouvera son unité grâce à la menue Nicole, doublement rescapée...

>>> Aussi remarquable que le roman...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéros 514, 517
Critiques (Public)
Un film magnifique. Egoyan évite tous les clichés, toutes les facilites du genre et nous donne un chef-d'oeuvre qui allie réflexion profonde et passionnante, émotions d'une intensité rare, esthétique troublante, acteurs parfaits et construction géniale (on se souvenait de celle de « Exotica » qui nous avait bluffés de virtuosité. Rien d'autre à dire: Egoyan maîtrise sa caméra et son sujet jusqu'au bout, mais ne tombe jamais dans le film à thèse ou dans le film chiant. Un chef-d'oeuvre qui méritait largement la palme d'or et en tout cas pas un tel échec public. N.R.