EN CHAIR ET EN OS - 1997

Titre VF EN CHAIR ET EN OS
Titre VO Carne tremula
Année de réalisation 1997
Nationalité Espagne / France
Durée 1h39
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 15
Date de sortie en France 29/10/1997
Thème(s)
Rendell (Ruth)
Cinéma espagnol (ORIGINE)
Basket-ball
Accouchements (tous pays confondus)
Drogue -consommation- (Cinéma espagnol)
Handicapés moteurs (Cinéma espagnol)
Réalisateur(s)
ALMODOVAR Pedro
Chef(s) Opérateur(s)
BEATO Affonso
Musique
IGLESIAS Alberto
Renseignements complémentaires
Scénario : Pedro Almodovar,
Ray Loriga et Jorge Guerrica-Echevarria .....
d'après un roman de Ruth Rendell
Distribution : Ciby 2000
Produit par Agustin Almodovar

Visa d'exploitation : 92 031
Acteurs
RABAL Liberto
NERI Francesca
BARDEM Javier
MOLINA Angela
SANCHO Jose
BARDEM Pilar
CRUZ Penelope
ANGULO Alex
FUENTES Mariola
BE Voel
MOLINS Josep
LANCHAS Daniel
ROSENFELDT Maria
HENARES Antonio
DE PAZ Diego
PRATS Matias
RODRIGUEZ Emilio
Résumé

Victor Plaza qui a eu la malicieuse idée et la chance de naître dans un bus madrilène, ce qui lui a procuré la gratuité à vie du transport urbain, maintenant, fringant jeune homme, s'est amouraché d'Elena, une voluptueuse et sensuelle jeune droguée. La seconde rencontre finit dramatiquement par l'arrivée de deux inspecteurs de police, un malencontreux coup de feu aura pour dramatique conséquence la paralysie des jambes d'un des pandores (qui deviendra finalement l'époux de la belle camée). Après huit années de taule, Victor se retrouve enfin libre, haineux, rongé de désirs de vengeance.

>>> Drôle, humoristique, grinçant et d'une tonique scénographie...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Positif numéro 441
- Cinéma numéro 595
- Saison Cinématographique 1997
- Cahiers du Cinéma numéro 518
Critiques (Public)
16/20 : Projeté au 21ème Festival du Cinéma Espagnol de Nantes en mars 2011. Un bon classique d'Almodovar singeant les moeurs espagnoles de 1997. Volontairement appuyé côté décoration, truffé de coups de sang et de raccommodages. Les pistolets sont de sortie. Présente aussi cette adresse à placer corps et visages dans des écrins, parfois en postures à fort assaisonnement (et sans que jamais ça vire au mauvais goût du fait des situations respectives, Javier Bardem en handicapé par exemple). Des enchaînements qui subjuguent par leur efficacité. A retenir, trois femmes-spectacles : Penelope Cruz en toute jeune mère-la débrouille, la sublime Angela Molina en épouse lucide et celle dont la plastique irréprochable et les yeux clairs de fauve restent hanter, Francesca Neri. L.Ventriloque