Robert Fisdall, jeune homme sympathique et rêveur, est accusé à tort d'avoir étranglé une vague connaissance féminine. Arrêté, il arrive à s'enfuir de la salle du tribunal et va tenter, avec la complicité d'une adorable jeune femme, de prouver son innocence en retrouvant un impossible clochard et un mystérieux individu, au tic nerveux significatif.
>>> Encore les thèmes favoris du grand Alfred : le faux coupable, le couple en fuite, le happy end surprenant, dans un film étonnant, humoristique et tendrement humain...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Positif numéros 211, 234 et 281/282
- Cinématographe numéro 40 et 73
- Ecran numéro 72
- Cinéma numéros 236/237 et 374
- Saison Cinématographique 1978
- La Revue du Cinéma numéros 326, 331
Critiques (Public)
S'il est vrai que le film est gentillet, je ne suis pas d'accord avec la définition du "jeune homme sympathique et rêveur": il est plutôt agaçant et mou ; ni avec le "happy end surprenant" qu'on attend dès le début et qui ne surprend guère. Seul point où nous sommes d'accord : la jeune femme de ce film est "adorable" et surtout,très convaincante. Junon(1-05-89).