LE CERVEAU QUI NE VOULAIT PAS MOURIR - 1962

Titre VF LE CERVEAU QUI NE VOULAIT PAS MOURIR
Titre VO The brain that wouldn't die
Autres titre VO The head that wouldn't die
Année de réalisation 1962
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h21
Genre HORREUR
Notation 3
Date de sortie en France
Thème(s)
Greffes / Trafics d'organes
Monstres / créatures inhumaines
Milieu médical (Cinéma américain)
Féminisme (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
GREEN Joseph
Chef(s) Opérateur(s)
HAJNAL Stephen
Musique
BAKER Abe RESTAINO Tony
Renseignements complémentaires
Scénario : Joseph Green
d'apres une histoire de ce dernier
et Rex Carlton .....

Nota : il existe également une version de soixante-et-onze minutes .....
Acteurs
LEITH Virginia
EVERS Jason
LAMONT Adele
BRIGHTON Bruce
BRENT Doris
DANIEL Leslie
SHARI Bonnie
MAURICE Paula
MASON Lola
DEVEREAU Audrey
KERR Bruce
CARMEL Eddie
HANOLD Marilyn
FREEMAN Arny
MARTIN Fred
PETRILLO Sammy
Résumé

Le docteur Bill Cortner et son père sont d'éminents chirurgiens qui opère souvent ensemble dans une étroite complicité. Pourtant, le compréhensif paternel n'est guère conciliant pour les complexes expérimentations de son fiston dont il ignore, certaines monstrueuses aberrations. Lorsque ce dernier part en week-end avec sa bien-aimée, ils sont tous deux victimes d'un terrible accident de voiture qui a de fâcheuses et tranchantes conséquences. En effet, la belle se retrouve proprement décapitée, le corps entièrement calciné. Notre amoureux médecin, sans perdre une minute, récupère en toute hâte la tête de sa chérie, qu'il transporte dans son laboratoire secret. Là, en compagnie de son damné assistant, il la maintient en vie, bien décidé à lui trouver un corps. Alors que Bill s'enquiert auprès de quelques relations féminines, des possibilités d'occire discrètement l'une d'entre elles, la tête entre en relation verbale et psychique avec un monstre retenu prisonnier dans une pièce annexe au laboratoire...

>>> Au vu de la richesse et de l'intérêt de l'histoire, on peut se demander qui a finalement perdu la tête, l'héroïne du film ou le pauvre scénariste dans l'impossibilité de conceptualiser son idée. Ne parlons pas de l'indigne réalisation qui souffre d'une profonde et constante indigence et d'une abyssale médiocrité générale...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)