LE GARCON AUX CHEVEUX VERTS - 1948

Titre VF LE GARCON AUX CHEVEUX VERTS
Titre VO The boy with green hair
Année de réalisation 1948
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h22
Genre FANTASTIQUE
Notation 15
Date de sortie en France 10/02/1967
Thème(s)
Racisme (Cinéma américain)
Allégories
Réalisateur(s)
LOSEY Joseph
Chef(s) Opérateur(s)
BARNES George
Musique
HARLINE Leigh
Renseignements complémentaires
Scénario : Alfred Lewis Levitt
et Ben Barzman .....
d'après une histoire de Betsy Beaton.
Distribution : Les Grands Films Classiques

Visa d'exploitation : 30 925
Acteurs
O'BRIEN Pat
STOCKWELL Dean
RYAN Robert
HALE Barbara
LYON Richard
CATLETT Walter
CLARKE David
HINDS Samuel S.
TOOMEY Regis
MEREDITH Charles
SHEFFIELD Billy
CALKINS Johnny
INFUHR Teddy
HICKMAN Dwayne
JANSSEN Eilene
ARNT Charles
TAMBLYN Russ
CARTER Ann
PIETRO Don
BYRNES Patricia
ROBICHAUX Cynthia
COOMBS Carol
CROOKS Georgette
WHITE Billy
WHITE Baron
MARTIN Spear
GRIBBLE Donna Jo
ROSE Max
MURPHY Al
WHITNEY Lynn
NILSSON Anna Q.
GUY Eula
SULLIVAN Brick
ROBERTSON Dale
PATTERSON Kenneth
BRODY Howard
BURKETT Ray
OSER Wendy
SHANNON Warren
GRAEFF Diane
PERRY Roger
BROCCO Peter
MAC MANUS Sharon
SAXE Carl
RUSSELL Jackie
LOYS JACKSON Curtis (junior)
Résumé

Un jeune garçon de dix ans, orphelin de guerre, voit un beau matin ses cheveux prendre une étrange couleur verte. D'abord sujet de curiosité et d'étonnement, il devient très vite objet de rejet et de méchanceté. Seuls un vieux bonhomme, une sympathique institutrice et un médecin compréhensif l'épargnent...

>>> Premier long métrage de Losey qui dénonce à travers cette fable symbolique les méfaits et la stupidité de l'intolérance, ainsi que la pesanteur du racisme tous azimuts...

Bibliographie
- Contreplongée
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1967
- Revue du Cinéma numéros 202-208-308 bis
- Cahiers du Cinéma numéros 111,191
- Télérama numéro 892
- Nouvel Observateur du 15/02/1967
- Le Monde du 15/02/1967
Critiques (Public)
Le premier film de Losey a bien mal vieilli. Qu'est-ce que ca sent les années cinquante ! Des tonnes de sentimentalisme et pas une once d'humour. (ELIE ELIE)