C'EST LA TANGENTE QUE JE PREFERE - 1996

Titre VF C'EST LA TANGENTE QUE JE PREFERE
Titre VO
Année de réalisation 1996
Nationalité France / Belgique / Suisse
Durée 1h40
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 8
Date de sortie en France 05/08/1998
Thème(s)
Jeux (Autres)
Milieu du théâtre (Cinéma français)
Bains et piscines (tous pays confondus)
Adolescence (Cinéma français)
Huissiers (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
SILVERA Charlotte
Chef(s) Opérateur(s)
CAPE Yves
Musique
LUBAT Bernard
Renseignements complémentaires
Scénario : Charlotte Silvera
et Jean-Luc Nivaggioni .....
Distribution : Diaphana

Visa d'exploitation : 87 488

- Prix du Meilleur Espoir Féminin pour Julie Delarme, Genève 1997 .....
Acteurs
DELARME Julie
BARRAULT Marie-Christine
SORAL Agnès
CORRAFACE Georges
SUZIE
MALAVOY Christophe
PRUCNAL Anna
LAFORET Marie
LOMBARD Maxime
MICHAUD Françoise
CHEVIT Maurice
NAVARRE Louis
DE KONOPKA Alix
HERETYNSKI Witold
SENS Bernard
STYCZEN Carol
HAMNOU Viridiana
DUVINAGE Luc
MAURICE Gregoire
DUPLA Charlotte
ROGE Xavier
MOREL Sophie
CALVET Catherine
FAVREUILLE Julien
MAHIEUX Nicolas
ROBIN Laurent
RUFUS
VANDENDAELE Ludovic
ZYLBERBERG Jeremy
GOS Jean-Pierre
LECOQ Catherine
TAYEB Karim
TONDEUR Frédéric
BRAHIMI Faouzi
BELMAHI Sefiane
BENZAKOUR Rabi
AMENZOU Rachid
PRIN Marc
LAMBERT Christophe
Résumé

Coup de foudre réciproque entre un metteur en scène de théâtre d'origine tchèque prénommé Jiri, la quarantaine et une jeune adolescente férue de mathématiques, Sabine, qui a l'habitude de monnayer ses moult services scolaires à ses camarades de classe beaucoup moins doué(e)s qu'elle dans cette matière. Notre bonhomme, ayant observé par hasard une de ces transactions financières, imagine que la gamine se prostitue occasionnellement et va donc lui donner un billet de cinq cents francs dès leur première nuit d'amour. Et de l'argent, la demoiselle en a foutrement besoin pour aider ses parents chômeurs et en instance d'être visités par un gourmand et rapace huissier. Un quiproquo semble s'être installé durablement...

>>> Tout sonne désagréablement faux et transpire l'artificiel, que ce soit la lourde relation bipolaire entre le théâtreux et l'adolescente, la famille de cette dernière, caricaturale jusqu'à l'ennui, les seconds rôles mièvres ou lénifiants, sans oublier un scénario d'une affligeante stupidité et d'une véracité factice au possible...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)