LA MOUCHE NOIRE - 1958

Titre VF LA MOUCHE NOIRE
Titre VO The fly
Année de réalisation 1958
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h35
Genre FANTASTIQUE
Notation 16
Date de sortie en France 13/05/1959
Thème(s)
Téléportation (tous pays confondus)
Jeux (échecs) (tous pays confondus)
Clavell (James)
Chefs-d'oeuvre (Fantastique)
Mutations (humaines)
Araignées (tous pays confondus)
Insectes
Chats (tous pays confondus)
Savants fous, médecins déments (Cinéma américain)
Cochons d'Inde et autres hamsters (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
NEUMANN Kurt
Chef(s) Opérateur(s)
STRUSS Karl
Musique
SAWTELL Paul
Renseignements complémentaires
Scénario : James Clavell
d'après une histoire
de George Langelaan .....
Distribution : 20th Century Fox

Visa d'exploitation : 21 103
Acteurs
HEDISON David
OWENS Patricia
PRICE Vincent
MARSHALL Herbert
FREEMAN Kathleen
GERSON Betty Lou
HERBERT Charles
BORDEN Eugene
MEYER Torben
CARTER Harry
DULAC Arthur
ROEHN Franz
TANNEN Charles J.
FLOWERS Bess
Résumé

André Delambre est un savant un peu illuminé qui travaille secrètement sur la désintégration et la "réintégration" de la matière. Ses premiers et timides essais sur quelques objets inanimés sont couronnées de succès. Après que le matou de la maison ait subi parfaitement la transmutation, l'intrépide chercheur tente désormais l'expérience sur lui-même. La catastrophe inattendue survient dès lors qu'une insignifiante mouche s'introduit subrepticement dans son étrange caisson...

>>> Hormis une fin plutôt moyenne, voire passable, tirée par... les toiles d'araignées, une oeuvre inoubliable qui reste un classique du film fantastique...

Bibliographie
- Répertoire Général des Films 1960
- Cinéma numéros 35 et 38
- Indenx de la Cinématographie Française 1960
- Cahiers du Cinéma numéro 97
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1959
Critiques (Public)
Classique de la science-fiction, remarquablement ficelé pour l'époque. Le metteur en scène mourut avant la sortie du film.

16/20 : Côté effets spéciaux, on a probablement fait plus subtil depuis 1958. A noter, ce charme infini dans la prononciation des noms français... Ce serait tiré d'une nouvelle. A part l'aspect expérimental parfois hérissant, un scénario limpide, comme celui des films à l'intention des enfants de dix ans... Alors, Hélène est-elle folle pour avouer s'être débarrassée de "la chose" ? ... De son lit, elle raconte une seule fois l'incroyable processus : ces transformations débouchant sur l'issue fatale (pauvre chaton hurlant dans les tuyaux !). Foutue mouche par qui le scandale arrive, il faut la chasser sans la tuer, et soudain la capturer alors qu'une araignée menace, de quoi en avoir des bourdonnements d'oreille (effet un peu gros à ce passage, l'inconvénient d'incarner de trop près)... Chouette tonton, à croire qu'il attendait son heure, tout admiratif du travailleur qui a poussé ses recherches dans le registre du non-retour, un rien ravi de lui succéder ! Soulagement donc sur les dernières images de la petite famille reconstituée, sans le baiser d'usage, mais une fois sorti de l'horreur, la sécurité n'a pas de prix. L.Ventriloque