RASPOUTINE LE MOINE FOU - 1965

Titre VF RASPOUTINE LE MOINE FOU
Titre VO Rasputin the mad monk
Année de réalisation 1965
Nationalité Grande-Bretagne
Durée 1h32
Genre HISTORIQUE
Notation 12
Date de sortie en France 28/06/1966
Thème(s)
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma britannique)
Bals et dancings (tous pays confondus)
Amputations
Raspoutine (Grigori)
Représentant(e)s du culte (Cinéma britannique)
Révolution russe et / ou tsarisme
Hammer Films
Cinéma britannique (ORIGINE)
Hypnose
Suicide (Cinéma britannique)
Réalisateur(s)
SHARP Don
Chef(s) Opérateur(s)
REED Michael
Musique
BANKS Don
Renseignements complémentaires
Scénario : John Elder
Maquillage : Roy Ashton .....
Distribution : 20th Century Fox
Une production Hammer Films

Visa d'exploitation : 31 950
Acteurs
LEE Christopher
SHELLEY Barbara
PASCO Richard
MATTHEWS Francis
ASHERSON Renée
LANDEN Dinsdale
FARMER Suzan
ACKLAND Joss
FRANCIS Derek
TILVERN Alan
WELSH John
BAILEY John
GODFREY Michael
WILDE Brian
CADMAN Michael
HARTFORD Fiona
MARSHALL Bryan
MULLINS Bartlett
CHRISTIE Helen
WRIGHT Maggie
SHAPS Cyril
MAC CONNEL Bridget
RYDER Celia
FLEMING Lucy
NICHOLSON Veronica
DUNCAN Robert
BARCLAY Mary
HYMAN Prudence
MAC GRATH Jay
QUINN Mary
RIPPER Michael
ROWLAND Robert
WHITE Leslie
YOUNG Jerry
Résumé

Alors que la femme du patron d'une minable auberge sibérienne se meurt dans son lit, percluse de fièvre et de douleurs, un homme hirsute et menaçant fait irruption dans la taverne, réclamant à boire. Mis au courant de la situation, sommé de se taire, il affirme pouvoir guérir la moribonde rien que par l'imposition de ses mains. En effet, la femme semble lentement sortir de son douloureux coma. Une solide beuverie s'en suit durant laquelle l'inconnu, un homme d'église défroqué (on a reconnu Grigori Iefimovitch Novykh Raspoutine) séduit la fille de l'aubergiste et devra fuir devant la vindicte des consommateurs, après avoir tranché la main du promis de la demoiselle. C'est ensuite à Saint-Petersbourg, dans un bouge malfamé, non loin du palais, qu'il charmera (par hypnose) une dame de compagnie de la tsarine venue avec des amis, s'encanailler. C'est par l'intermédiaire de l'amoureuse et soumise créature, que l'envoûtant et démoniaque personnage compte s'introduire dans les plus hautes sphères du pays...

>>> Même si le film n'a rien de transcendant comparé à l'illustre et plutôt dément personnage dont il esquisse le portrait et que d'autres réalisateurs ont approché avec plus de pertinence, on reconnaît toutefois l'incontournable "Hammer Touch" dans la besogneuse réalisation du modeste tâcheron Don Sharp, plus à l'aise dans les téléfilms et les séries télévisées. Reste Christopher Lee, un chef-d'oeuvre à lui seul...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- "Hammer forever" numéro 15
Critiques (Public)