Scénario : Deric Washburn,
Mike Cimino et Steve Bochco .....
Effets spéciaux : Douglas Trumbull,
John Dykstra et Richard Yuricich .....
Chansons : Joan Baez
Distribution : Universal
Produit par Michael Gruskoff
Nota : pour Joseph Campanella et Roy Engel, uniquement la voix .....
Freeman Lowell est un consciencieux botaniste, embarqué depuis huit longues années, sur le "Valley Forge", un des quelques vaisseaux spatiaux, spécialement aménagés en serres, pour maintenir en vie des espèces végétaux disparus de la Terre, depuis une terrible catastrophe nucléaire. Lorsque l'ordre est donné de détruire, pour des raisons économiques, ces immenses sphères écologiques, Freeman, à l'instar de ses coéquipiers, refuse d'exécuter les consignes et prend la fuite, en compagnie de trois robots et de sa précieuse cargaison, en direction des anneaux de Saturne...
>>> Une œuvre SF phare des années 1970 !
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
J'ai connu ce film sous un autre titre "Silent cut", et je trouve que ce dernier lui rend hommage par le mot "cut". En effet, un film culte où les émotions ne sont pas réfrénées. Un film très prenant où les uns pleureront et ou les autres étoufferont leur hargne contre les écolos. Bref, un film vrai qui ne nous donne pas à ingurgiter du hachis parmentier comme beaucoup de mauvais films soit disant "à sentiments". Avec "Silent running" ou "Silent cut" vous aurez du vrai et du garanti. Superbe et très émouvant. SIGNE ALIEN.
"Je jure de sauvegarder et de protéger du gaspillage les ressources naturelles de mon pays, sa terre, ses forêts, ses eaux et sa faune"
Sans être un film culte, "Silent Running" demeure une curiosité à découvrir, en étant bien conscient d’être sur le territoire d'un low budget.
Sa visite s'avère intéressante dans des effets spéciaux extérieurs très corrects, cohabitant avec un habitacle plus chaotique, dominé par quelques faiblesses techniques démontrant que l'opus financièrement est limité.
Tout cela se regarde dans un épiderme au repos, loin d'être tutoyé par ces images esthétiques, manquant d'intensités à l'image d'un cosmos endormi.
A voir uniquement pour posséder un élément supplémentaire dans son catalogue d'images cinématographiques de l'univers. Certaines demeurent très honorables, c'est déjà ça.
A noter que certains reflets de l'odyssée de cet exilé volontaire, solitaire, écolo amoureux et protecteur de la nature semblent interceptées par "Moon" dans un ensemble parfois similaire.
Hasard ou coïncidence.
JIPI
