Malgré le succès évident de sa première pièce de théâtre, Darius craque lors de la dernière représentation et finit par devoir prendre quelques semaines de repos dans un institut spécialisé. Mais dès sa sortie, les tensions reviennent de plus belles, inversement proportionnelles à la maigreur de son inspiration. C'est après le décès malheureux et malencontreux du chat du voisin qu'un déclic se met lentement à jour dans son esprit surchauffé. Il réalise que le meurtre est le sédiment même de sa création artistique et va donc occire gaiement quelques inconscients de son entourage.
>>> Malgré sa constante agitation variée et peut-être aussi à cause de cette fébrilité permanente, Albert Dupontel, acteur et réalisateur, finit par nous lasser et nous ennuyer dans sa conception souvent insupportable d'un comique grand-guignolesque pesant, à la recherche de l'effet à produire, du plan à faire, coûte que coûte pour séduire... © Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)
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