JE LA CONNAISSAIS BIEN... - 1965

Titre VF JE LA CONNAISSAIS BIEN...
Titre VO Io la conoscevo bene
Autres titres VF L'AMOUR TEL QU'IL EST
Année de réalisation 1965
Nationalité Italie / France / Allemagne
Durée 2h05
Genre DRAME
Notation 15
Date de sortie en France 03/08/1966
Thème(s)
Cinéma italien (ORIGINE)
Suicide (Cinéma italien)
Bowling
Boxe (Cinéma italien)
Coiffeurs et barbiers (tous pays confondus)
Manucurie et manucures (tous pays confondus)
Milieu du cinéma (Cinéma italien)
Ascenseurs et monte-charges
Milieu de la publicité (tous pays confondus)
Trains et gares (Cinéma italien)
Photos et photographes (Cinéma italien)
Réalisateur(s)
PIETRANGELI Antonio
Chef(s) Opérateur(s)
NANNUZZI Armando
Musique
PICCIONI Piero
Renseignements complémentaires
Scénario : Antonio Pietrangeli,
Ruggero Maccari et Ettore Scola .....

Visa d'exploitation : 31 011
Acteurs
SANDRELLI Stefania
MANFREDI Nino
TOGNAZZI Ugo
HOFFMANN Robert
FUCHSBERGER Joachim
BRIALY Jean-Claude
ADORF Mario
FABRIZI Franco
DOR Karin
VENDELL Véronique
FERRO Turi
SALERNO Enrico Maria
NERO Franco
POLESELLO Franca
DORI Sandro
NELLI Barbara
CAMASO Claudio
STUBING Solvi
PAVLOVA Tatiana
MICELI PICARDI Cesarino
TERRA Renato
ZEHETGRUBER Rudolf
PIETRANGELI Paolo
DANA Rod
DUSE Vittorio
GOGGI Loretta
LEPORI Gabriella
Résumé

Originaire d'une pauvre région agricole de la péninsule italienne, Adriana Astarelli s'en est venue dans la capitale, avec l'espoir de réaliser son rêve d'adolescente, devenir actrice. En attendant la concrétisation de cette hypothétique consécration, la charmante et séduisante demoiselle travaille alternativement comme coiffeuse / manucure et ouvreuse dans une salle de cinéma. Vivant dans l'immédiateté et le superficiel, elle se laisse facilement séduire par la gent masculine et souvent berner de par son exorbitante naïveté et sa rayonnante candeur. En effet, les fréquentes déconvenues et les inattendues déceptions s'enchaînent et s'accumulent avec une maladive répétition : obligée de payer la chambre d'hôtel d'un séducteur qui la laisse en plan, le matin, ou bien se faire escroquer par un imprésario douteux qui lui promettait un tournage... mais seules ses bottines seront filmées. Une quotidienneté affligeante, entre inutile et fastidieux cours de diction, courte apparition dans un médiocre péplum et lamentable soirée avec une pseudo-interview qui la rendra ridicule, projetée sur les écrans, finiront par catalyser un désespoir en brutale latence générant le prévisible et stupide geste fatal, une chute volontaire depuis la terrasse de son petit appartement...

>>> Une construction scénaristique classique qui n'empêche nullement l'émergence d'un intérêt constant, avec surtout une impressionnante et subtile interprétation de Stefania Sandrelli, magnifiquement investie par son personnage d'une triste banalité...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Jeune Cinéma numéros 27/28, 377
- Saison Cinématographique 1969
- Positif numéro 675
- Cahiers du Cinéma numéro 182

Critiques (Public)