DANS LA PEAU DE JOHN MALKOVICH - 1999

Titre VF DANS LA PEAU DE JOHN MALKOVICH
Titre VO Being John Malkovich
Année de réalisation 1999
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h52
Genre COMEDIE FANTASTIQUE
Notation 14
Date de sortie en France 08/12/1999
Thème(s)
Changements d'état, de corps .....
Marionnettes et marionnettistes .....
Homosexualité féminine (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
JONZE Spike
Chef(s) Opérateur(s)
ACORD Lance
Musique
BURWELL Carter
Renseignements complémentaires
Scénario : Charlie Kaufman
Distribution : Universal Pictures

Visa d'exploitation : 98 674

Nota : pour Neil Ross, uniquement la voix .....
Acteurs
CUSACK John
DIAZ Cameron
KEENER Catherine
BEAN Orson
MALKOVICH John
PLACE Mary Kay
SHEEN Charlie
BROWN W. Earl
DICK Andy
FINCHER David
JACOTT Carlos
PIVEN Byrne
ROSS Neil
SPORLEDER Gregory
PENN Sean
PITT Brad
GARSON Willie
BELLAMY Ned
WEINSTEIN Eric
LANC Madison
SPENCER Octavia
DODDS K.k.
HAYES Reginald C.
WETZELL Judith
CARROLL Kevin
EMERICK Gerald
RYUSAKI Bill
MURRAY James (3)
FANCY Richard
TIPPO Patti
HANSEN Daniel
O'BRIEN Mariah
TEACHER Kelly
BENOIT Jacqueline
BUCK William
COLEMAN Christine D.
DIEHL Jeanne
GELFUND Audrey
GINSBURG Yetta
JENKINS Sylvester
JOHNSON Roy C.
LOW Eddie J.
SPAULDING Ralph w.
WYLER David
WYLER Flori
JONZE Spike
BRADLEY Dan
Résumé

Génial marionnettiste, Craig Schwartz ne connaît pas le succès conséquent à son talent. De guerre lasse, sur les injonctions de son épouse Lotte, il accepte de chercher du travail. Recruté comme employé de bureau par la "bizarre" Lester Corporation, sise au 7 1/2e étage d'un building, notre bonhomme, fort attiré par sa collègue Maxine, découvre par hasard, dans son bureau, un étrange, voire mystérieux passage qu'il finit par emprunter pour aboutir... dans la tête de l'acteur John Malkovich !

>>> Une oeuvre fort déjantée, originale, mais qui finit pas "tourner en rond"...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
17/20 : Revu en dvd, aidée du bonus pour mieux cerner la démarche. En effet, lors de la sortie en salle j'avais vécu "l'épreuve" comme une démonstration d'égocentrisme forcené sans plus, l'autodérision m'ayant complètement échappé. Je voyais du Malkovich complaisant, point. Tout compte fait, suffit de se laisser porter. Alors c'est assez amusant de revenir sans cesse à l'ouverture mystérieuse qui mène les quatre fers en l'air tout en tournant la question qu'on est à la fois rien et beaucoup. Quelques passages métaphysiques qui peuvent déboucher sur une réflexion personnelle pertinente. Pour ma part, écho certain concernant la différence à faire entre nos fantasmes et la pratique réelle des expériences avec notre corps... et celui d'autrui. Bref, le délire poussé d'un créatif (un peu trop redondant cependant, léger essoufflement scénaristique ressenti dans le déluge d'images en toute dernière partie) mais qui n'enlève rien à la vitalité d'ensemble. L.Ventriloque