Alors que le commissaire Mattei convoie un détenu en train, le dénommé Corey, un malfrat, en instance de libération, projette un minutieux hold-up préparé en prison sur les précieuses confidences d'un détenu mourant...
>>> Cette avant-dernière oeuvre, tournée à "l'américaine" nous maintient en haleine continuellement et comporte un excellent moment de bravoure : la scène du cambriolage. L'ambition de Melville n'est pas de nous faire croire à son histoire, mais de nous la conter avec talent. Il y réussit parfaitement...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinématographe numéros 50, 109
- Cinéma 70 numéro 151
- Cahiers du Cinéma numéro 225
- Cinéma numéro 249
- Saison Cinématographique 1971
- Image et Son numéro 331 bis
- Jeune Cinéma numéro 51
- Positif numéro 124
Critiques (Public)
S'il ne fallait qu'une seule raison pour chérir ce film, le premier et hélas seul rôle digne de Bourvil qui lui ait été accordé serait suffisant pour marquer les mémoires. Le reste est, de surcroit, parfait. 
JPC