IL MAESTRO DI VIGEVANO - 1963

Titre VF IL MAESTRO DI VIGEVANO
Titre VO Il maestro di Vigevano
Année de réalisation 1963
Nationalité Italie
Durée 1h40
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 13
Date de sortie en France
Thème(s)
Cinéma italien (ORIGINE)
Milieu scolaire (Cinéma italien)
Enterrés-vivants / Emmurés-vivants .....
Inspecteur des impôts et autres percepteurs (tous pays confondus)
Milieu ouvrier (Cinéma italien)
Voyeurisme (Cinéma italien)
Jeux (cartes)
Ambulances (tous pays confondus)
Billard (tous pays confondus)
Jeux de cartes (réussites et patiences)
Rêves et cauchemars (Cinéma italien)
Enfer, paradis, purgatoire et limbes .....
Cordonniers, savetiers, chausseurs et autres bottiers (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
PETRI Elio
Chef(s) Opérateur(s)
MARTELLI Otello
Musique
ROTA Nino
Renseignements complémentaires
Scénario : Agenore Incrocci (Age),
Furio Scarpelli et Elio Petri .....
d'après un roman de Lucio Mastronardi
Montage : Ruggero Mastroianni
Acteurs
SORDI Alberto
BLOOM Claire
DE TARANTO Vito
DOUCHESKAYA Ya
SPADEA Guido
SCAVAZZI Tullio
FERRANTE Lilla
MAZZARELLA Piero
MAGNI Eva
GIBILISCO Ignazio
DE CERCE Bruno
CASOLARI Egidio
COSTABILE Agnello
CARENA Anna
D'ARPE Gustavo
TOCCHIO Adriano
SAVONE Enzo
SANCROTTI Ezio
MONDIN Olivo
LOGLI Lorenzo
FUSARI Gaetano
MUZIO Joris
MORALDI Franco
ROCCO Umberto
ANGELINI Nando
TUMINELLI Franco
MONTINI Carlo
Résumé

Petite ville lombarde, dans la province de Pavie, Vigevano est surtout connue pour ses nombreuses fabriques de chaussures, aussi bien des grandes entreprises que des petites usines à dimension familiale. La fringante Ada Badalessi aimerait bien intégrer une de ces prospères entreprises, même comme simple ouvrière, pour arrondir les fins de mois de son couple et de leur unique progéniture, un gamin d'une quinzaine d'années prénommé Rino. En effet, son brave mari, le pataud Antonio Mombelli, maître d'école, dans un établissement scolaire de la cité, touche une fort maigre rémunération pour son sacerdoce, mais refuse malgré tout que son épouse aille travailler comme banal agent subalterne, un emploi indigne de la fonction de son mari. Ce besoin obsessionnel de gagner un peu plus d'argent conduira la jeune femme à mandater, de temps à autre, son fils, comme livreur, à l'insu de son père qui découvrira la supercherie, par hasard en circulant dans la ville. Finalement, l'opiniâtre épouse enfreint le veto marital et se retrouve engagée comme banal agent de maintenance devant une machine. Une fonction qui lui devient rapidement insupportable, au point de convaincre Antonio d'ouvrir son propre atelier de chaussures, en collaboration avec son frangin. Mais les choses se gâtent : trop bavard sur certaines combines, notre bonhomme qui a démissionné de l'enseignement, va susciter l'intérêt des agents du fisc, et sa femme de plus en plus coquette se sent pleine d'attirance pour le riche Bugatti qui brasse des millions de lires, quotidiennement...

>>> C'est toujours un incommensurable plaisir de revoir Alberto Sordi, dans ses embrouilles avec son entourage, même dans cette œuvre de moyenne qualité, parasitée par une insipide et stupide séquence de rêves, censée se dérouler au paradis...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)