Scénario : Alejandro Amenabar
Producteurs exécutifs : Tom Cruise,
Paula Wagner, Bob et Harvey Weinstein
et Rick Schwartz .....
Distribution : Bac Distribution
Nous sommes en 1945, sur l'île de Jersey. Dans un vieux manoir isolé, Grace, dont le mari n'est pas revenu de la guerre, éduque strictement ses deux enfants, Anne et Nicolas, souffrant d'une maladie rare : une dangereuse et hyper photosensibilisation. C'est pourquoi, les consignes données aux trois nouveaux domestiques sont strictes et définitives : la maison doit être constamment plongée dans les ténèbres et aucune porte ne doit être ouverte, avant que la précédente n'ait été parfaitement refermée...
>>> D'une ténébreuse subtilité !
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Annuel du Cinéma 2002
Critiques (Public)
Je l'ai vu en anglais avant de le voir en français mais la fin est mortelle !
Toute l'histoire vous fait penser une chose et la chute est incroyable : on se dit : "Woua ! J'aurais jamais pensé..."
A voir si vous aimez les films étrangement bizarres !
Pacifik.
16,5/20 : Entre Hitchcock, Kubrick, Tarkovski, oscillation lumière-ténèbres, brrrr.... C'est la manière de diluer qui désarçonne dans la virtuosité globale d'Alejandro Amenabar. L'enfer où entrerait régulièrement un petit coin de paradis, qu'on reste danser d'un pied sur l'autre à la porte grinçant sur ses gonds, c'est entendu. Large part à l'intendance quotidienne, une Nicole Kidman vampire malgré elle, deux enfants en voie d'extinction dont le garçonnet cultivant déjà l'humour macabre... Si le fond de l'histoire distille le mobile féminin de la réclusion, la dérive vers le fantastique de début et d'issue ne va pas de soi à moins d'en rester au stade du conte pour enfants. D'où admiration réflexe mais sourire dubitatif persistant après le film... Ces ombres venues faire leurs trois petits tours auraient peut-être gagné à virer burlesques pour que le plaisir soit total. L.Ventriloque
16,5/20 : Entre Hitchcock, Kubrick, Tarkovski, oscillation lumière-ténèbres, brrrr.... C'est la manière de diluer qui désarçonne dans la virtuosité globale d'Alejandro Amenabar. L'enfer où entrerait régulièrement un petit coin de paradis, qu'on reste danser d'un pied sur l'autre à la porte grinçant sur ses gonds, c'est entendu. Large part à l'intendance quotidienne, une Nicole Kidman vampire malgré elle, deux enfants en voie d'extinction dont le garçonnet cultivant déjà l'humour macabre... Si le fond de l'histoire distille le mobile féminin de la réclusion, la dérive vers le fantastique de début et d'issue ne va pas de soi à moins d'en rester au stade du conte pour enfants. D'où admiration réflexe mais sourire dubitatif persistant après le film... Ces ombres venues faire leurs trois petits tours auraient peut-être gagné à virer burlesques pour que le plaisir soit total. L.Ventriloque