L'OURS ET LA POUPEE - 1969

Titre VF L'OURS ET LA POUPEE
Titre VO
Année de réalisation 1969
Nationalité France
Durée 1h30
Genre COMEDIE
Notation
Date de sortie en France 04/02/1970
Thème(s)
Voitures (Rolls-Royce) (tous pays confondus)
Voitures (2CV) (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
DEVILLE Michel
Chef(s) Opérateur(s)
LECOMTE Claude
Musique
ROSSINI Gioacchino VARTAN Eddie
Renseignements complémentaires
Scénario : Nina Companeez
et Michel Deville .....
Dialogues et montage : Nina Companeez
Distribution : Paramount

Visa d'exploitation : 35 757
Acteurs
BARDOT Brigitte
CASSEL Jean-Pierre
CECCALDI Daniel
GELIN Xavier
GILLES Patrick
CLAISSE Georges
VERDIER Julien
BEAUTHEAC Claude
LESCOT Jean
STROH Olivier
DARMONT Patricia
HAUDEPIN Sabine
STROH Valérie
JETTER Claude
COMPANEEZ Nina
MANIEZ Johanna
DATICHE Evelyne
ARIE Hélène
LAFABRIE Karin
DANCOURT Christiane
GILL Audrey
FISZELL Patricia
BALARD Jean-Claude
MOUTON Joel
Résumé

Rencontre tonitruante et fracassante entre la belle Felicia et le gentil Gaspard par une collision entre leurs deux véhicules respectifs : d'un côté une discrète 2 CV, de l'autre, une mirobolante rolls-royce. Il suffit que le jeune homme ne fasse guère attention à la demoiselle pour que cette dernière cherche par tous les moyens à le séduire. Une longue nuit de tentatives de conquête va commencer...

>>> Une bonne petite comédie que nous propose le trio Michel Deville, Brigitte Bardot et Jean-Pierre Cassel, avec un humour constant et souvent élégant...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Télérama numéro 1048
- Cinéma 70 numéro 145
Critiques (Public)
Cela commence plutôt bien, avec le sens confirmé de Deville pour le rythme ludique (montage rapide, glissements de caméra, petits gags de raccord, jeux de couleurs, musique classique en accompagnement du montage). Mais au bout de cinquante minutes, la situation s'enlise et le film tourne en rond, autour de son maigre axe central de comédie légère, trop légère et finalement très franchouillarde. Il n'est pas improbable que le film ait plus aux USA et je pense fort possible que ce film, et notamment la figure de Jean-Pierre Cassel, ait pu mettre sur les rails le personnage de Dudley Moore. A part cela, une petite curiosité : l'insistance de Deville, via gros plans et angles (des)avantageux, à nous montrer la laideur (dentition et mains, aie aie aie) de Bardot, accentuée encore par la futilité de son personnage. (ELIE ELIE)