LE SOURIRE DE MA MERE - 2002

Titre VF LE SOURIRE DE MA MERE
Titre VO Il sorriso di mia madre
Autres titre VO L'ora di religione
Année de réalisation 2002
Nationalité Italie
Durée 1h42
Genre DRAME
Notation 17
Date de sortie en France 20/11/2002
Thème(s)
Peintres, peinture et tableaux (Cinéma italien)
Cinéma italien (ORIGINE)
Religions et croyances (Cinéma italien)
Représentant(e)s du culte (Cinéma italien)
Duels
Milieu scolaire (Cinéma italien)
Photos et photographes (Cinéma italien)
Escrime (tous pays confondus)
Milieu médical (Cinéma italien)
Folies, démences et autres dérangements de l'esprit (Cinéma italien)
Handicapés moteurs (Cinéma italien)
Baptêmes (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
BELLOCCHIO Marco
Chef(s) Opérateur(s)
MARI Pasquale
Musique
KANCHELI Gia GIAGNI Riccardo TAVENER John VASKS Peteris
KERNIS Aaron Jay
Renseignements complémentaires
Scénario et production : Marco Bellocchio
Distribution : Océan Films Distribution

Visa d'exploitation : 107 056
Acteurs
LUSTIG Jacqueline
CASTELLITTO Sergio
CONTI Chiara
DEGLI ESPOSTI Piera
MONDINI Alberto
BERTORELLI Antonio
CARIELLO Bruno
DONADONI Maurizio
ALBERTI Gigio
IMPARATO Gianfelice
PLACIDO Donato
SCHICCHI Gianni
ROSSI Renzo
DE SILVA Pietro
BELLOCCHIO Maria Luisa
BELLOCCHIO Letizia
CAPPELLI Giovanni
FERRATA Ada
BONANNI Lino
GRIECO Hubert
ALBERANI Amerigo
GULED GIAMA Mariam
KARAKHANIAN Valentina
CANTELLI Giorgio
MORO Renata
D'AMADIO Stefano
EUSEPI Giuseppe
BELLOCCHIO Elena
NATOLI Chiara
BELLOCCHIO Marco
Résumé

Libre penseur et solide athée, le peintre romain Ernesto Picciafuoco, dont les illustrations pour les livres destinés aux enfants sont célèbres, apprend avec stupéfaction que l'on veut canoniser sa mère, quitte à manipuler la vérité sur son décès. En effet, cette dernière a été mortellement poignardée par Egidio, un de ses fils, aujourd'hui interné dans un hôpital psychiatrique et enfermé dans un obstiné et profond mutisme. C'est sur l'instigation de ses tantes et de ses frères ainsi que de son épouse Irène avec laquelle il est en instance de divorce, que depuis environ trois ans la complexe procédure a été mise en œuvre avec bien sûr comme preuve absolue de sainteté, la guérison miraculeuse d'un vague ami handicapé. Alors que son jeune fils Leonardo s'interroge avec obstination sur Dieu, notre artiste peintre se voit dans l'obligation de rencontrer le professeur de religion du gamin, afin de tempérer son enseignement, il se retrouve en face d'une délicieuse créature, Diana Sereni, admiratrice de son œuvre picturale et qui devient bientôt sa maîtresse, comme par enchantement ou par collusion. Et ce ne sera ni son stupide duel avec l'exaspérant comte Bulla ni les pressions diverses et variées des instances familiales et religieuses, qui mettront un terme à son refus de participer à la prochaine mascarade papale...

>>> Sous de tranquilles apparences de décontraction feutrée, nimbée de savoir-vivre et de tolérance intellectuelle, un suave et virulent brûlot contre les calotins de la curie épiscopale et les satrapes de la religion qui coassent en chœur et en liturgie les saintes paroles du "crapaud de Nazareth", entre une paternelle bénédiction et quelques lampées de Don Pérignon millésimés, pour perpétrer la grande farce millénaire...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Les Inrockuptibles numéro 365
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Positif numéro 496, 502, 536
- Annuel du Cinéma 2003
- - Cinéma numéros 276 et 279
- Ciné-Feuilles numéros 438/439
- Cahiers du Cinéma numéros 569 et 573
- Télérama numéro 2758
- Fiche du Cinéma numéro 1677
- Positif H.S mai 2007
Critiques (Public)