AIME TON PERE - 2002

Titre VF AIME TON PERE
Titre VO
Année de réalisation 2002
Nationalité France / Suisse / Canada / Grande-Bretagne
Durée 1h40
Genre DRAME PSYCHOLOGIQUE
Notation
Date de sortie en France 13/11/2002
Thème(s)
Moto(cyclettes) et autres scooters (Cinéma français)
Ecrivains (Cinéma français)
Relations entre père et fils (Cinéma français)
Grand Nord, Alaska et régions polaires (Lieux géographiques)
Prix Nobel (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
BERGER Jacob
Chef(s) Opérateur(s)
MARTI Pascal
Musique
PETIT Jean-Claude
Renseignements complémentaires
Scénario : Pascal Barollier,
Jacob Berger et Edward A. Radtke .....
Distribution : UFD
Produit par Jean-Pierre Guerin
et Gérard Depardieu .....

Visa d'exploitation : 102 750
Acteurs
DEPARDIEU Gérard
DEPARDIEU Guillaume
TESTUD Sylvie
BOISSELIER Julien
CREVAUX Pierre-Alexandre
POLIER Frédéric
SCHALLIER Pippa
KOCHER Noémie
ABBASS Hiam
MOHS Johanna
FRANTZ Jacques
EIRIK Sten
FORSSTROM Martin
HOGAN Cory
BRUNET Marc
KOLLMUSS Stefan
BESTAZZONI Roberto
JADAH Robert
TADROSS Manuel
Résumé

"Malgré sa célébrité, Léo, un écrivain cinquantenaire, vit reclus dans un village de Haute-Savoie, loin de sa famille et de ses deux enfants. Apprenant qu'il est lauréat du Prix Nobel de littérature, il envisage de se rendre en Suède à moto pour recevoir cette distinction. Mais son fils Paul décide de le suivre sur la route pour avoir une conversation avec lui et régler leurs différends"

                                                       (d'après le matériel de presse)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Annuel du Cinéma 2003
Critiques (Public)
18/20 : Vu en dvd en juillet 2007 et agréablement surprise ! En effet, cabotinage absent, tiens donc, au contraire, admirablement joué par Depardieu père et fils, avec Sylvie Testud en travers de leur délire, dans cette Suisse qu'on croit toujours aseptisée... C'est le père du réalisateur qui est visé dans le propos. Et pourtant on jurerait que ces deux rivaux à l'écran rejouent leur propre parcours ! Tout du long, une oppression due à la façon de filmer, avec ce fond musical très atténué, calqué sur des bruits de véhicules, plus des échanges verbaux comme si on y était. D'accord, le spectateur est assez voyeur, ça chauffe en gros plan sous notre nez, mais après tout, c'est très bien mené et si l'identification le temps du film opère, apporte une nuance à sa propre vie, ça vaut un médicament. Idem pour cette audace d'avouer qu'on n'est pas tous nés pour éduquer ses enfants (plus ou moins doués ou autre passion qui tenaille !) et pas plus qu'on les aime d'office et tout le temps parce qu'ils sont issus de nous : évidemment, au prix de comptes à régler plus tard. Le film met le paquet pour offrir une piste dont on peut s'inspirer, sachant que mille autres resteraient à explorer afin de parvenir à s'arranger de sa propre condition d'adulte. L.Ventriloque