LOST IN TRANSLATION - 2003

Titre VF LOST IN TRANSLATION
Titre VO Lost in translation
Année de réalisation 2003
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h42
Genre COMEDIE
Notation 15
Date de sortie en France 07/01/2004
Thème(s)
Saunas et hammams .....
Milieu de la publicité (tous pays confondus)
Insomnie ( tous pays confondus)
Voitures (Limousine) (tous pays confondus)
Jeux (pachinko) (tous pays confondus)
Karaoké
Réalisateur(s)
COPPOLA Sofia
Chef(s) Opérateur(s)
ACORD Lance
Musique
REITZELL Brian SHIELDS Kevin
Renseignements complémentaires
Scénario : Sofia Coppola
Distribution : Pathé Distribution

Visa d'exploitation : 109 407

Nota : pour Nancy Steiner, uniquement la voix (téléphone) .....
Acteurs
MURRAY Bill
JOHANSSON Scarlett
TAKESHITA Akiko
MINAMIMAGOE Kazuyos.
SHIBATA Kazuko
TAKE
BABA Ryuichiro
YAMAGUCHI Akira
LAMBERT Catherine
DU BOIS François
LEFFMAN Tim
PEKAR Gregory
ALLEN Richard (4)
RIBISI Giovanni
TADOKORO Yutaka
MAKI Jun
NAKA Tetsuro
ASUKA Nao
NAKAZATO Kanako
HAYASHI Fumihiro
KAWASAKI Hiroko
DAIKON
FARIS Anna
SHIMUZU Asuka
TAKAHASHI Ikuko
TANAKA Koichi
CODARO Hugo
NARUYAMA Akimitsu
MONOU Akiko
KAWASHIMA Hiroshi
HIROMI Kobayashi
KITAMURA Nobuhiko
KITMAN Nao
HATTORI Yasuhiko
YAMADA Kazuo (2)
AKIRA
NOMURA Kunichi
AIDA Shigekazu
MOTOMURA Akira
SHIGEMATU Osamu
FUJI Takashi
TAKYO Kei
KONDO Ryo
IKEDA Yumi
SAKI Yumika
OKABE Yuji
BOLLMAN Diedrich
ESCHERT Georg O. P.
WILLMS Mark
WILKERSON Lisie
STEINER Nancy
Résumé

Bob Harris, vedette déclinante du cinéma américain, posé dans la cinquantaine, est venu au Japon, tourner une improbable publicité pour une marque de scotch. Dans le même hôtel de luxe, où il loge, la jeune Charlotte, venue accompagner son mari, un réputé photographe de mode et du show-bizz. Deux âmes solitaires, paumées dans une capitale inconnue (Tokyo), coincées par la barrière du langage, bousculées par l'ennui et le décalage horaire, qui vont doucement se rejoindre...

>>> C'est mignon tout plein, suave et tendre et légèrement trop long !

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Annuel du Cinéma 2005
- Cahiers du Cinéma numéro 586
Critiques (Public)
Une ville démentielle récupérant à la nuit tombée toute une apparence improbable dont on admire les ultimes fumeroles matinales du haut d’un building dont la logistique interne ne fonctionne plus que par des concepts automatisés. Imitant du mieux possible l’offrande d’une assistance affective qu’elle semble impossible d’offrir de manuelle naturelle. Coruscant au pays du soleil levant, cité ne semblant jamais finir ne s’exprimant que par l’abondance de ses rues et les extravagances de ses différentes technologies dont la plupart de ses habitants semblent dépendants. On est ensemble mais toujours sous la dépendance d’un champ d’énergie thématique constitué d’écrans géants, de néons gigantesques et de lumières rouges clignotantes. Un Karaoké omniprésent nouvelle manne destinée à des esprits ne semblant plus être en mesure de communiquer de manière intérieure. Une nouvelle expérience dont le but est de sortir de soi en tâtonnant dans un état second la représentation continuelle d’une machinerie toujours courtoise tout en semblant hermétique au top de son décalage et de sa robotisation que l’on découvre éreinté par le décalage horaire. Quelques heures à se ressourcer à la recherche de repères sensitifs momentanément perdus que l’on partage avec l’autre en lui offrant le temps de quelques confidences le maximum de sa sensibilité sans passer à l’acte. JIPI