A L'AMERICAINE - 1928

Titre VF A L'AMERICAINE
Titre VO Champagne
Autres titres VF PALACE DE LUXE
Année de réalisation 1928
Nationalité Grande-Bretagne
Durée 1h25
Genre COMEDIE
Notation 12
Date de sortie en France
Thème(s)
Hydravions .....
Milieu culinaire (tous pays confondus)
Barques, pirogues, chaloupes et autres canots .....
Ascenseurs et monte-charges
Petites annonces
Trains et gares (Cinéma britannique)
Cinéma britannique (ORIGINE)
Bateaux de croisière (Cinéma britannique)
Mal de mer (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
HITCHCOCK Alfred
Chef(s) Opérateur(s)
COX Jack E.
Musique
SOSIN Donald
Renseignements complémentaires
Scénario : Alfred Hitchcock
et Eliot Stannard .....
d'après un roman de Walter C. Mycroft
Photographe de plateau : Michael Powell .....
Acteurs
BALFOUR Betty
BRADIN Jean
GIBSON Vivian
HARKER Gordon
TREVOR Jack
HEATHERLEY Clifford
VIBERT Marcel
VON ALTEN Ferdinand
VON ALTEN Theo
D'ARCY Alexandre
HULBERT Claude
KONSTAM Phyllis
WILSHIN Sunday
JONES Hannah
WRIGHT Fanny
Résumé

L'affriolante Betty, fille d'un conséquent milliardaire de Wall Street, défraye régulièrement la chronique mondaine par ses moult frasques et autres extravagances mondaines. Lorsque le paternel apprend par les journaux que cette dernière a décidé de rejoindre en hydravion, l'élu de son coeur, en route pour l'Europe, à bord d'un luxueux transatlantique, la coupe (de champagne) est largement pleine. Malgré une solide houle et la présence d'un libidineux importun, le couple parvient à Cherbourg et vient s'établir dans un luxueux palace de la capitale. La fête sera finalement de courte durée. En effet, Mark le père vient lui annoncer personnellement qu'il est désormais ruiné et qu'il va falloir changer radicalement d'existence. La demoiselle, refusant une prise en charge de son petit ami, trouve effectivement un travail dans un huppé cabaret / restaurant où elle est censée vendre des oeillets aux riches clients esseulés. A nouveau, son chemin croise celui du richissime vieux séducteur rencontré sur le paquebot (qui est en fait un complice de son paternel) et elle finira par apprendre que papa est toujours aussi fortuné, que toute cette pantalonnade n'avait de but que d'apprendre à Betty un peu de mesure et de discernement dans ses propos et son comportement...

>>> Cette oeuvre muette du grand Alfred, tournée en noir et blanc, fin des années 20, vaut surtout pour sa première demi-heure plutôt alerte, pour ensuite se déliter dans une monotone réalisation menant cahin-caha vers un happy end plutôt balourd et bâclé...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
Critiques (Public)