HOMEBOY - 1987

Titre VF HOMEBOY
Titre VO Homeboy
Année de réalisation 1987
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h56
Genre DRAME
Notation 3
Date de sortie en France 24/08/1988
Thème(s)
Alcoolisme et autres beuveries (Cinéma américain)
Boxe (Cinéma américain)
Réalisateur(s)
SERESIN Michael
Chef(s) Opérateur(s)
TATTERSALL Gale
Musique
CLAPTON Eric KAMEN Michael
Renseignements complémentaires
Scénario : Eddie Cook
d'après un sujet original de Mickey Rourke .....
Distribution : Capital Cinéma

Visa d'exploitation : 68 634
Acteurs
ROURKE Mickey
WALKEN Christopher
FEUER Debra
CONWAY Kevin
ALDA Antony
POLITO Jon
DE VILLE Willy
BLADES Ruben
BALDWIN Stephen
SLAYTON Bill
QUINN Thomas
TAYLOR David michael
RAGNO Joseph
LEWIS Matthew
GRAY Sam
WHITFIELD Dondre
ABNER Teddy
MEANS Anthony
DUPREE Jimmy
BUFFER Michael
DENKIN Marty
HAZZARD Larry (senior)
STORM Morty
RAINS Gianna
DALY Jeanne
FREEMAN Jonathan
TREPEL Liz
IRIZARRY Gloria
LOTZ Jack
ARCHER Jimmy
BRAVERMAN Al
BLACK Stu
GRAY Sheila
FRIEDER Sol
MANCINI Lenny
PRIOR Charles
MORALES José
GONZALEZ Cordelia
BALLO Nick
O'CONNER Gavin j.
HANNIBAL Lydia
MOORE Patience
JANNEY Julie
BARKLEY Iran
GRAZZIANO Carmen
HOLMES Van
DE CEGLI Nicholas
PATTI Thomas
SINDO Angel
DRAYTON Buster
WALSH James
INNACELLI Guido
LA PAGLIA Lenny
SESSA Michael
STORM Marty
WHINERY Webster
Résumé

Johnny Walker, boxeur à la dérive, entre alcoolisme prégnant et nonchalance désabusée, tente de refaire surface, dans un match l'opposant à un challenger pour un titre mondial. Son errance le conduit à côtoyer un gangster minable et une douce jeune fille, propriétaire d'un manège de poneys et de chevaux de bois...

>>> Mélo insupportable où s'accumulent les invraisemblances et les scènes gratuites. Des abus de flous et de ralentis dans une atmosphère transpirant le faux romantisme et les poncifs du genre, avec un Mickey Rourke chargeant son personnage à outrance...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Le visage ensanglanté, le nez cassé, la mâchoire défoncée, Mickey Rourke sourit à la foule qui le hue ... Clapton, profond, entame un solo. "Homeboy", une crise cardiaque, un arrêt du coeur, un envol de l'âme, un nettoyage des tripes, une claque dans la gueule, "homeboy", comment oublier ton visage? ... Le rourkien

Film rasoir par excellence, dépourvu d'intérêt. Mickey est toujours aussi exaspérant. Seul Christopher Walken parvient a prouvé qu'il est comme à l'accoutumée, un excellent acteur.

Des histoires d'anti-héros, Mickey Rourke, çà le connait ... à chaque fois, il en fait des tonnes, coté interprétation -dans les excès, il laisse bien loin derrière les plus fidèles de la méthode. A ses cotés, il faut cependant remarquer un Christopher Walken étonnant ... mais là ou le film pèche le plus, c'est par le manque de rythme, le défaut de punch. Heureusement que la réalisation se rattrape par des images absolument superbes, d'une très grande pureté nocturne. Ah ! la nuit ... D.W. GRAPHITE.


Suffirait-il de mettre une citation d'Aristote sur "l'homme et la femme", quelques propos pseudo-intellectuels sur les dinosaures, des ralentis sur une plage et un manège de chevaux de bois agrémentés de la présence de Mickey Rourke, sincère mais insupportable, pour berner ou leurrer ainsi les prétendus critiques de cinéma qui parlent sans pouffer ni rougir, de chef-d'oeuvre ou d'excellente réalisation ... Achille août 88

Très déçu par ce film, il n'y a rien, même l'histoire n'accroche pas, même comme moi, les fans de Rourke risquent fort d'être déçus. Rourke en "macadam cow-boy" du ring arrive à nous émouvoir pendant dix minutes du film et à nous agacer le reste durant en cabotinant a outrance entre grimaces, rictus et raideurs ... Qu'on m'explique ce que vient faire dans ce film, l'épisode du cambriolage des chambres d'hôtels, le couple pressé de fornication et bien d'autres scènes faisant office de remplissage. Une superbe rature ...

Moi j'ai a d o r é avec "Barfly" et "L'année du dragon" c'est l'un de ses meilleurs films. Quoiqu'un peu "spécial" j'ai aimé ce film et la performance de Mickey est loin d'être égale sans adorer, J'aime. Paule de Caen

Mickey est fatigant; Seul Walken tire son épingle du jeu, c'est un acteur sans limite, sa sensibilité lui permet de tout jouer .....