CRY FREEDOM - 1987

Titre VF CRY FREEDOM
Titre VO Cry freedom
Autres titres VF LE CRI DE LA LIBERTE
Année de réalisation 1987
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h38
Genre DRAME
Notation 13
Date de sortie en France 23/03/1988
Thème(s)
Films politiques (Cinéma américain)
Tortures
Apartheid
Réalisateur(s)
ATTENBOROUGH Richard
Chef(s) Opérateur(s)
TAYLOR Ronnie
Musique
FENTON George GWANGWA Jonas
Renseignements complémentaires
Scénario : John Briley
d'après : "Vie et mort de Steve Biko"
et "Asking for trouble" de Donald Woods .....
Distribution : UIP

Visa d'exploitation : 67 410
Acteurs
KLINE Kevin
WILTON Penelope
HARGREAVES John
WASHINGTON Denzel
MAC COWEN Alec
MAC NALLY Kevin
MOKAE Zakes
RICHARDSON Ian
SIMON Josette
THAW John
WEST Timothy
ANDERSON Miles
BUSON Thomas
FINDLEY Jim
GLOVER Julian
HARDIE Kate
MAKONDO Maw
MAHONEY Louis
MARCELL Joseph
MATSHIKIZA John
NDINDA Albert
WATERMAN Juanita
SIYOLWE Wabei
WHALEY Andrew
TAYLOR Graeme
WALKER Adam Stuart
GUMEDE Patricia
AUBREY James
CORNWELL Judy
JERRICHO Paul
MURPHY Glen
STRONG Gwyneth
MAC NEICE Ian
SITHOLE Evelyn
SITHOLE Xoliswa
COINE James
BORKUM Shelley
WHELAN Gary
DICKIN Dudley
TREVENA David
UZZAMAN Badi
PHILLIPS Robert
TEMBO Fishoo
MARSH Peggy
BRETHERTON Philip
HERTZBERG Paul
SITTIG Hans
MAC NAMARA Robert
HENRY David
MATIVENGA Kimpton
TURNER Michael
HANEKOM Kalie
NCUBE Star
GUZAWA David
MINSTER Hilary
CARY Peter
KANAVENTI Dominic
MATHAMBO Sam
MUPARUTSA Walter
WATFORD Gwen
PAUL John
COX Michael Graham
HARTLEY John
SHUMBA Simon
HAGON Garrick
TATE Nick
MAC PHERSON Neil
GRAHAM Hepburn
MAREDZA Claude
CHANCE Carlton
LOVELL George
GRANT Russell keith
DRURY Karen
KANAVENTI Munyaradzi
BOYD Niven
MAC CULLOCH Andrew
VOGEL Tony
FLETCHER-COOK Graham
HURST Christopher
SIM Gerald
CARTWRIGHT Peter
WALKER Hamish Stuart
MGCINA Sophie
WALKER Spring stuart
GAVAZA Angela
MLAMBO Nocebo
MATAMAVI Walter
MUCHACHI Clement
CHINAMANDO Ruth
CHIDYAMATHAMBA Basil
MUSHORE Marcy
KUMALO Alton
CHASE Carl
SIMBARASHE Lawrence
POOLE Marilyn
SHEPPARD Morgan
MARLOWE William
MAZHINDU Tichatonga
BRACE Peter
Résumé

L'histoire authentique d'un journaliste blanc, Donald Woods qui se liera d'amitié avec un leader de la lutte contre l'Apartheid en Afrique du Sud déchirée par le racisme, en 1977. En effet, durant plus de onze années, notre homme tentera de prouver que le régime de Pretoria est directement responsable de la mort de Steve Biko, un important activiste noir, arrêté, emprisonné et mort sous la torture, alors que les raisons officielles de son décès incriminent une grève de la faim...

>>> Une oeuvre courageuse, dénonciatrice d'un système politique aberrant...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Bon film, mais la fin est dommage car trop romancée, elle attenue le sentiment de révolte développé tout au long du film chez le spectateur. Par contre l'énumeration des soit-disantes raisons de mort lors du générique montre bien l'hypocrisie des Afrikaners ... A par cela, beaucoup de sensibilité, des touches d'humour et de l'action. Je pars pour l'Afrique du sud, je ne peux pas rester indifférente à cela 

"Humain, trop humain" un film qui défend une cause, en l'occurence celle des Noirs d'Afrique du Sud contre l'apartheid. C'est noble, c'est une nécessité même d'informer l'opinion publique. Mais l'histoire de Steve Biko, produite par Universal passe rapidement du grand reportage au "peplum" voire au feuilleton américain, par moments. A la fin du film, le sentiment de révolte éprouvé, est dû autant à l'impuissance devant la barbarie à visage humain qu'au dégoût devant les basses motivations commerciales qui transparaissent. En somme, le choc pour le fric ...... 

Le générique de fin illustre parfaitement le paradoxe du "Cri de la liberté" : une oeuvre de fiction, aussi bien intentionnée soit-elle, ne vaut pas la force d'émotion que peuvent donner des images de la réalité, fussent-elles brèves et censurées. Ce cri anti-apartheid est finalement surtout une certaine vision de Blancs qui "découvrent", "prennent" conscience" de l'iniquité fondamentale de leur système. Le film est généreux, mais son regard reste limité ...  D.W. GRAPHITE.