LES CLIMATS - 2006

Titre VF LES CLIMATS
Titre VO Iklimler
Année de réalisation 2006
Nationalité Turquie
Durée 1h38
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 16
Date de sortie en France 17/01/2007
Thème(s)
Milieu du cinéma (Cinéma turc)
Cimetières (tous pays confondus)
Rêves et cauchemars (Autres pays)
Cinéma turc (ORIGINE)
Milieu scolaire (Autres pays)
Réalisateur(s)
CEYLAN Nuri Bilge
Chef(s) Opérateur(s)
TIRYAKI Gökhan
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Nuri Bilge Ceylan
Distribution : Pyramide

Visa d'exploitation : 114 996
Acteurs
CEYLAN Ebru
CEYLAN Nuri Bilge
KIRILMIS Nazan
ERYIMAZ Mehmet
ASCI Arif
OZBATUR Can
BAYRAKTAR Ufuk
CEYLAN Fatma
CEYLAN Emin
YILMAZ Semra
OLCAY Ceren
DEMIRKUBUZ Abdullah
KOC Feridun
SAKA Zafer
Résumé

Sur une plage écrasée par le soleil, un couple se sépare. Il est enseignant en histoire archéologique, se prénomme Isa. Elle travaille sur la régie de films de télévision et s'appelle Bahar. L'homme contourne la rupture en revoyant une ancienne maîtresse. La femme quitte Istanbul et ses souvenirs pour un tournage sur les lointains hauts plateaux au nord du pays. Il finit par la rejoindre sur son lieu de travail, tente de la séduire à nouveau, lui demande de revenir sur la capitale. Il lui fait son cinéma. Elle doute de lui. Il est déjà fort loin en pensée et n'a qu'une envie, rejoindre bien vite les aires de l'aéroport, sans se retourner, et repartir...

>>> Une sombre et désenchantée climatologie de la relation amoureuse en finitude, quand le sentiment se délite et s'étiole et qu'on joue encore à y (faire) croire, entre machisme en débandade et inéluctable fin de saison pour des coeurs en attente et en charpie, dans une délétère scénographie maladive et brouillonne...
© Cinéfiches.com (Jean-Claude Fischer)

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Positif numéros 545/546
- Positif numéro 551
- Annuel du Cinéma 2008
- Positif H.S mai 2007
- Zeuxis numéro 28

Critiques (Public)
14/20 : C'est admirablement filmé, les stations sur les visages féminins ne lassent pas, la musique de Domenico Scarlatti accompagne bien ce "je te fuis, tu me suis" et vice-versa qui occupe tout le film, mais justement, c'est ça qui fatigue vite fait. On croirait des ados en train de se mesurer, ça ne décolle pas de ce stade. Lui, parfaitement macho, mais à grand besoin féminin, elles qui rigolent bêtement et font tout le cinéma dévolu aux femmes, minauderies, larmes, en veux-tu en voilà. Expériences amères, dialogues de sourds, seule la violence apporte un peu de piment... Pourquoi ce cinéaste-acteur éprouve le besoin de se coucher la tête en arrière dans un tiroir ? Une question qu'on peut se poser. L.Ventriloque